DVD/BR : les sorties du mois
Blanche-Neige et Hulk sont sur un porte-avion...

Beaucoup de sorties en cette période estivale, celles des blockbusters des mois d'avril et de mai, avec, à côté, quelques DTV et autres mockbusters.

 

La sélection Scifi-Universe :

 

Detention

Si vous aimez Kaboom, Nowhere, Les Lois de l'attraction ou Fatal Games, mais aussi Scream et Retour vers le futur, Detention est pour vous. Fracassant, euphorisant, bourrin, Detention est un OFNI jouissif dont on ressort joyeux et des scènes plein la tête. Avec ce délirant teen-movie qui convoque le slasher et la science-fiction dans une intrigue aussi improbable que réjouissante et bardée de back-stories tordantes, le réalisateur allumé de Torque enflamme la génération MTV et embrase avec elle les années 90 et 2000 dans toute leur culture et leur non-culture, leurs paradoxes et leurs influences. Joseph Kahn montre la conception MTV (sa jeunesse, son style, sa culture) dans toute sa splendeur et sa décadence, la poussant jusqu'à son paroxysme, y dégageant autant la dégénérescence que l'émotion, intégrées dans un récit virtuose minuté à la seconde près (une machine comique imparable). En résulte la meilleure comédie de 2011 (une pluie de gags, de clins d'œil, de répliques hilarantes, de rebondissements absurdes...), et l'un des teen-movie les plus fascinants, dévastateurs et hors-normes de ces dernières années. Sortie le 08 août.

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Les autres sorties du mois :

 

Battlestar Rebellion - Prisoners of Power

Nous sommes en 2157. L’âge d’or de la civilisation humaine. Les pilotes du Free Search Group sillonnent l’espace à la recherche d’un vaisseau spatial russe piloté par Maxim Kamerrer, 22 ans, qui s’est écrasé sur Saraksh, une lointaine planète habitée. Après de longues années d’une guerre nucléaire, une crise environnementale règne sur la planète et la société en place doit faire face à de graves problèmes sociaux et à une paix fragile. Le vaillant cosmonaute va découvrir une mystérieuse terre régie par les Pères Inconnus, cinq gouverneurs anonymes manipulant la conscience des habitants par le biais d’émetteurs spéciaux. Ici Maxim fera la connaissance de nouveaux amis, aura des ennemis, trouvera l’amour et, après avoir traversé de nombreuses épreuves, il prendra finalement la tête d’un mouvement rebelle visant à défier les cinq avides gouverneurs… Sortie le 1er août.

 

La Fantastique histoire de Blanche Neige

Quand son père, le Roi, succombe à ses blessures après avoir été attaqué par un dragon, Blanche Neige est dès lors dangereusement soumise à la cruauté de sa belle-mère. La reine, assoiffée de pouvoir, l’évince du royaume pour s’emparer définitivement du trône. Un magnifique Prince s’éprend malgré tout de Blanche Neige et décide de lui venir en aide. Hors d’elle, l’horrible marâtre s’emploiera à ne lui laisser aucune chance et tentant de la faire définitivement disparaître. Blanche Neige se cache alors dans la forêt enchantée… Sortie le 1er août.

 

Perfect Sense

Tenant aussi bien du film apocalyptique que du film de contamination (la fin du monde est tendance, dans le cinéma d’aujourd’hui), Perfect Sense s’en éloigne complètement par son traitement unique quoique typique du cinéma indépendant américain (Another Earth avait tenté une approche similaire, en beaucoup moins beau). De ce pitch improbable qui permet une multitude de bouleversements émotionnels et qui fait coexister les tonalités les plus contradictoires (colère/tendresse, sombre/lumineux…), David MacKenzie tire un film de science-fiction romantique et hypnotique qui pourra sembler vain et prétentieux pour certains mais qui, pour d’autres, touche à la grâce et à la plénitude (quelle fin intense !), sur la magnifique musique lancinante et envoutante de Max Richter. Logiquement, en accord avec son sujet, Perfect Sense est une sorte de romance sensorielle, palpitante et puissamment émotionnelle (presque épique dans l'émotion) de laquelle on ressort non pas cafardeux, car c'est un film étonnement optimiste, mais simplement ému et éprouvé (et, sur le moment, plus attentif à nos propres sens). Universel et sensationnel ! Sortie le 07 août.

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La colère des titans

Se situant dans la parfaite continuité du Choc des titans, La colère des Titans réussit l'exploit d'être légèrement moins bien que son prédecesseur, déjà pas terrible du tout. Tout aussi moyen et ennuyeux que pouvait déjà l'être le film de Louis Leterrier, il ne propose rien de fondamentalement nouveau et se contente de dupliquer avec plus ou moins de bonheur une recette pas franchement passionnante. Si l'accumulation de scènes d'actions parvient à donner au long-métrage suffisamment de rythme pour qu'il ne soit pas trop ennuyeux, cela ne parvient pas complètement à faire passer la pillule de ce spectacle bête à manger du foin, qui se pose comme l'archétype même du blockbuster raté à presque tous les niveaux. Sortie le 07 août.

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Rec 3 : Génesis

En sacrifiant au bout de 20 minutes l’immersion et la tension instaurée par l’esthétique found-footage (soit le principal intérêt d’un [REC.], d'ailleurs ça ne s'appelle pas [REC.] pour rien), Paco Plaza transforme son [REC]³ Génesis en une comédie horrifique décomplexée, plutôt fun, généreuse (une bonne dose de gore) et pleine d’idées, certes jubilatoire par instants mais finalement très anecdotique, maladroitement construite (malgré la très courte durée), pas très bien réalisée, écrite et montée à la serpe. Sans Jaume Balaguero pour rééquilibrer le délire, Plaza part en roue libre et bricole une amusante série B artisanale (cf. les effets spéciaux old school) et « rock’N’roll » aux relents de Z, ce qui, en un sens, la rend attachante. Mais [REC]3, comme torché rapidement dans la joie et la bonne humeur, manque de cohésion, d’un peu de sérieux et d’application, et tout part en vrille sans justification, dans la forme comme dans le récit. L’évolution de la trilogie [REC.], en attendant le prochain, possède des similitudes avec la trilogie Evil Dead : le premier était effrayant (un pur film d’horreur/épouvante), le second était effrayant ET drôle (un pur film d’horreur/épouvante avec beaucoup d’humour), le troisième est drôle mais pas effrayant (une comédie horrifique). Le souci, c’est qu’on va voir du [REC.] pour avoir peur et non pour se marrer. L'important est ici de s'amuser, ce qui marche plutôt bien. Déroutant voire hybride dans ses partis-pris, [REC]³ Génesis est différent des deux précédents opus, oui. Mais en moins bon. Sortie le 08 juillet.

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Wake Wood

Comme dans leurs deux précédentes productions, Laisse-moi entrer et La Locataire, la nouvelle Hammer tente de revenir à un cinéma atmosphérique et psychologique, repiquant au passage des pans entiers de The Wicker Man et Simetierre. Si la première partie distille une ambiance intéressante et un parfum de mystère brumeux dignes de leurs productions d’autrefois, le récit s’écroule progressivement au fur et à mesure que l’élément fantastique s’affirme, jusqu’à finir par patauger dans les pires poncifs du genre (l’enfant diabolique qui commet meurtre sur meurtre) dans un dernier tiers grandguignolesque qui jette par-dessus bord tout ce qui avait auparavant été entreprit et transforme Wake Wood en un téléfilm anonyme. Un sabordage regrettable au regard des qualités (surtout picturales) dont fait preuve le cinéaste et qui rend hélas ce Wake Wood très oubliable en dépit de ses quelques séquences marquantes qui surnagent dans ce script absurde dénué du moindre second degré (c’est surtout problématique dans sa dernière partie). Sortie le 14 août.

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Fantômes et Cie

Si Fantômes et Cie posait sur le papier quelques idées qui auraient pu se montrer intéressantes et aboutir à un film pour la jeunesse plutôt plaisant, son manque d'énergie, de personnalité et de rythme conduit à un certain ennui. Seuls les plus jeunes, ou des adeptes du genre "Sabrina, l'apprentie sorcière" pourront trouver un quelconque intérêt à ce produit à la réalisation très télévisuelle. Sortie le 14 juillet.

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Blanche Neige

Lorsque son père, le Roi, meurt, Blanche Neige est en danger. Sa belle-mère, cruelle et avide de pouvoir, l’évince pour s’emparer du trône. Quand la jeune femme attire malgré tout l’attention d’un Prince aussi puissant que séduisant, l’horrible marâtre ne lui laisse aucune chance et la bannit. Blanche Neige se réfugie alors dans la forêt… Recueillie par une bande de nains hors-la-loi au grand cœur, Blanche Neige va trouver la force de sauver son royaume des griffes de la méchante Reine. Avec l’aide de ses nouveaux amis, elle est décidée à passer à l’action pour reconquérir sa place et le cœur du Prince… Sortie le 15 août.

 

Battleship

Océan Pacifique… Au large d’Hawaï, l’US Navy déploie toute sa puissance. Mais bientôt, une forme étrange et menaçante émerge à la surface des eaux, suivie par des dizaines d’autres dotées d’une puissance de destruction inimaginable. Qui sont-ils ? Que faisaient-ils, cachés depuis si longtemps au fond de l’océan ? A bord de l’USS John Paul Jones, le jeune officier Hopper, l’Amiral Shane, le sous-officier Raikes vont découvrir que l’océan n’est pas toujours aussi pacifique qu’il y paraît. La bataille pour sauver notre planète débute en mer. Sortie le 16 août.

 

Hunger Games

Hunger Games c’est un peu le film qu’on n’ attendait pas vraiment pour 2012 mais qui montre que l’on peut faire un gros budget qui ne prémâche rien pour le spectateur (en dehors de l’histoire originale clairement référentielle). Rythmé et allant à l’essentiel, le film n’oublie pas de faire ce qu’il faut pour qu’on l’aime, beaucoup ! Du vrai cinéma comme on en voit très peu, à la hauteur des meilleurs films d’actions d’une certaine époque dont un qu’il pille sans honte (Running Man). Et honnêtement, il n’y a pas de honte à avoir pour une fois. Sortie le 18 août.

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La malédiction des sables

Quand Anubis est un psychopathe… C’est le pitch de La malédiction des sables, un nanar de David Flores qui ne se montre intéressant que lors de séquence volontairement (ou pas) drôles, comme lorsque les héros rendent visitent au redneck propriétaire d’un arsenal et marié avec une harpie ou quand Mark combat des toons égyptiens (dans le pur style Roger Rabbit). Car en dehors de cette atmosphère humoristique parfois réussie, il n’y a pas grand-chose à retenir, et cela même si les comédiens font leur possible pour tirer la qualité du métrage vers le haut. Sortie le 21 août.

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Android Insurrection

Quelque part dans l’espace, une lointaine colonie terrestre est le théâtre d’événements étranges. Des militaires sont envoyés sur place : ils découvrent que les robots sont devenus autonomes et n’ont qu’un ennemi : l’humanité ! Sortie le 21 août.

 

Sur la piste du Marsupilami

Bien que l'histoire manque juste un peu d'aventure pour tenir sur l'ensemble de la distance, Sur la piste du Marsupilami est une très belle aventure de personnages autour de la bête mythique. Les apparitions de l'animal sont magiques et le film est très drôle. Il ne s'agit pas tout à fait d'une adaptation mais d'un emprunt très respectueux pour le placer dans une aventure issue de l'humour Canal. Sortie le 22 août.

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21th century boys 2 : Le dernier espoir

Dans 20th Century Boys - Un Nouvel Espoir, Tsutsumi se permet un peu plus de liberté que dans le premier volet. Il en ressort un film un peu plus dynamique – et un peu plus brouillon -, ce qui ne va manquer de plaire aux spectateurs qui avaient trouvé l'opus précédent vraiment trop mou. A coté de cela, le niveau d'interprétation est bon et l'intrigue toujours aussi captivante. Tant et si bien que l'on a qu'une envie une fois fini le générique de fin: voir le dernier chapitre le plus rapidement possible et découvrir enfin qui est Ami. Sortie le 22 août.

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Avengers

Annoncé depuis longtemps, le projet Avengers se devait de mettre la barre haute, du moins au-delà de tout ce qui avait été accompli jusqu'ici, justifiant ainsi une telle rencontre. Pari amplement réussi, en particulier dans une deuxième partie élevant le film de super-héros à un niveau vraiment jamais atteint, ou pour la première fois nous les verrons réellement égaler à l’écran ce qu'ils font sur papier. Pour 2012, Avengers place la barre déjà très haute en termes de divertissement, et la concurrence aura fort à faire pour être aussi jouissif. Puis pour une fois tout n'est pas dans la bande-annonce ! Sortie le 25 août.

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Auteur : Vincent L.
Publié le lundi 20 août 2012 à 18h00

Diaporama photo : Detention [2012]

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Commentaires sur l'article

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    le projet Avengers se devait de mettre la barre haute, du moins au-delà de tout ce qui avait été accompli jusqu'ici, justifiant ainsi une telle rencontre

    celle là, faut quand même avoir les bollocks de la sortir sans perdre une dent.

    Prendre le pauvre prétexte de l'Agent Coulson pour justifier la réunion de tels égo, n'importe quoi… à tout péter, ils lui ont tous parlé 5 minutes jusque là, même dans leurs films respectifs, et là, le mec crève, et ça chiale dans les chaumière comme si ils l'avaient connu depuis 15 ans……

    déjà que le scénario est écrit avec les pieds… user de ce genre de prétexte (et pas qu'une fois dans le film) c'est vraiment prendre les gens pour des cons, ce qu'ils sont d'ailleurs au final, vu le succès du film et les critiques positivement unanimes.
    Cerberus, le 20 août 2012 20h50
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    A vrai dire seuls Stark et Captain America sont motivés par la mort de l'agent. Pour Stark il l'a quand même côtoyé bien plus que 5 minutes, et pour Captain America c'est un soldat qui meurt en service. Ca ne me semble pas si con que ça tout de même, du moins suffisant pour motiver une envie de revanche.

    Je ne dis pas que c'est la meilleure intrigue de l'histoire du cinéma, mais de là à traiter de con toute personne ne s'étant pas focalisé là-dessus...
    Ago, le 20 août 2012 22h22
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    @Cerberus... Perso j'ai aimé voir un rêve d'ado se réaliser (aussi imparfait soit-il), j'ai aimé les petites pointes d'humour dans le scénar et la mise en scène, somme toute classique j'en conviens, m'a bien plue (notamment l'énorme plan séquence de baston dans la ville quand les Vengeurs se fritent l'armée des envahisseurs ET)... Maintenant j'admets ma subjectivité de con.
    Arnal, le 20 août 2012 22h37
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    Pour Captain America, c'est le symbole du soldat avec des cartes de collections d'epoque souillés de sang.
    En ce qui concerne Battleship, je me demande si la redac' de Scifi-universe l'a vraiment vu car dire que les envahisseurs etaient sous l'eau depuis longtemps, ya pas comme une soucis là, sachant que la base du film est que le gouvernement americain envoie des messages a une vitesse folle via un sattelite sur une planète ressemblant a la terre, et que biensur, sur la planète visé par ces messages, les ET l'entendent et se pointent et s'ecrasent sur terre en pleine mer, et sont decouvert quelques heures après leurs crashs..... donc rien a voir avec le pseudo resumé noté plus haut dans l'article.
    PowerB, le 20 août 2012 23h13
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    Cerberus t'as rien compris à la phrase que tu cite, je traduis pour toi : Pour ce film, il a fallu une menace assez importante pour justifier de rassembler tout ces super-héros

    Donc t'es hors sujet, ta tirade sert à rien et en plus tu t'attribue une référence Kaamelott.

    Bienvenue chez les gens qui réfléchissent.
    darkbeuh, le 21 août 2012 00h38
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    @Darkbeuh: En quoi cette menace (en l'occurrence d'invasion extraterrestre) serait elle plus importante que dans n'importe quel autre film du genre, ou dans n'importe quel épisode de Power Rangers?

    Le fait est clairement que ce rassemblement d'égo, à juste titre, est clairement montré comme impossible jusqu'à la mort de Coulson, que l'on utilise donc comme un prétexte. Car si, Stark n'a fait que croiser Coulson précédemment, en le prenant à chaque fois de haut, comme il sait si bien le faire. Et là, sa mort devrait tout changer? Prétexte à la con, scénario mal écrit, sur ce point, comme tant d'autres. Qu'on vienne seulement m'affirmer le contraire, arguments à l'appui. Donc, non, je ne suis pas hors sujet et le pari n'est pas réussi. N'en déplaise à certain et leur manque d'objectivité.

    Et oui… j'use d'une référence à Kaamelott, évidemment! On ne va pas tous puiser nos références au pays de la médiocrité.
    Cerberus, le 21 août 2012 06h20
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    @Power B : il s'agit du pitch officiel du film tel que transmis par les distributeurs. Nous ne l'avons donc pas modifié... Ceci dit, il y a la bande-annonce en dessous, pour plus de détails.
    Staff, le 21 août 2012 09h07
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    @Cerberus : Et oui… j'use d'une référence à Kaamelott, évidemment! On ne va pas tous puiser nos références au pays de la médiocrité.

    vu la façon dont tu utilises nos références, il ne va pas en rester grand chose...

    et s'il te plait arrête prendre les gens de haut... mais bon c'est vrai que trouver quelqu'un avec un ego surdimensionné comme le tien pour te tenir compagnie, ça tiendrait du miracle ...
    Ouini Ouini, le 21 août 2012 11h14
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    @cerberus : ça ne sert à rien de jouer les gros derrière son écran, tu n'as pas aimé tant mieux c'est ton droit. Perso, je n'ai pas aimé le dernier Batman, que j'ai trouve pas crédible et avec beaucoup beaucoup d'incohérences, mais je ne me permet d'être aussi arrogant, juste parce que j'ai un avis différent de la majorité. Apprenons à respecter les goûts de chacun, sans être méprisant.
    Superbuy, le 21 août 2012 14h23
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    Non mais attendez, on croit rêver là! Bien sûr que le pari n'est pas réussi. Et arrêtez de jouer les culs bénis, que le premier qui se sent insulté par les propos quand il parle de cons ose venir dire qu'il n'a jamais traité personne de con, faut arrêter de faire la pucelle effarouchée! D'autant que vous êtes toujours les premiers ici à toujours tous le temps critiquer à tort ou à raison n'importe quel film sur son simple pitch, et là, par manque total d'objectivité il a encore raison, vous vous sentez attaqués parce que vous ne savez pas faire la part des choses.
    Oneal, le 21 août 2012 14h48
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    Pour moi, le pari est réussi. Et non, on ne va pas rester insensible quand il traite les gens de con. Perso, c'est pas parce que des gens mettent des gifles à d'autres que je vais accepter de m'en prendre une... Nan mais c'est quoi le problème là ?
    Giuseppe, le 22 août 2012 11h29
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    Oui, effectivement, traiter quelqu'un de con et mettre une baffe, c'est tout à fait pareil…… qu'est ce qu'il faut pas entendre.

    Ils ont bien raison, le problème c'est d'encenser Avengers quand on passe son temps à critiquer toutes les productions américaines, à commencer par celles de Disney. Or, il est tout à fait légitime de critiquer ces productions qui n'ont plus rien d'artistique et qui sont formatées à souhait. Faire une exception pour Avengers sous prétexte qu'on rêve de ce film depuis son enfance, sous prétexte que c'est un film léger et pop corn (en quoi cela empêcherait il d'avoir un scénario travaillé et brillant?), ça s'appelle de la malhonnêteté intellectuelle.

    Avengers est une insulte à l'intelligence et au cinéma.
    JohnLocke, le 22 août 2012 13h39
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    Film excellentissime à tout point de vue, de loin l'un des meilleurs films de super-héros, POINT.

    bien sûre, y'a encore des blasés de la vie, qui critiquent pour critiquer... eh les gars : arrêter d'aller au ciné, de regarder la TV si tout est NUL. à se demander si vous bossez pas chez télérama.

    bref, certains commentaires sont des insultes à l'intelligence humaine.
    Stef, le 30 août 2012 21h37

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