Gérardmer - Jour 4
Les tribulations d'un Bastable dans les Vosges
Quatrième journée de festival, la neige commence à manquer, normal avec la chaleur qui commence à monter^^ En effet, le weekend étant là, les festivaliers de fin de semaine ont déboulé en masse, innondant les rues et les salles de la petite ville vosgienne qui n'en demandait pas tant pour s'enflammer.
Du coté de la programmation, la journée a débuté à 11 heures avec Kilometro 31, un film espagnol de Rigoberto Castaneda, qui narre encore une histoire de fantome. Pas grand chose d'original, ormis la découverte d'une excellente actrice, Illiana Fox.
Après une pause repas, l'après-midi a été consacré à la littérature avec un séjour à l'Espace du Tilleul où était par l'équipe Bragelonne les Prix des Nouvelles Fantastiques, un concours à catégories pour les jeunes de moins de 17 ans.
Des récompenses remises sur place par la sympathique auteur et scénariste Ange. Au programme, beaucoup de dédicaces avec Richard Borhinger, les auteurs de Nuit d'Avril (avec un Sir Cedric très sollicité), Bernard Werber, Graham Joyce et bien d'autres qui m'escuseront, j'espère, de ne pas les citer (je le ferais plus en détail ultérieurement).
A 19 heures, retour en salle pour le moment magique de cette 14ème édition, l'hommage à Irvin Kershner.
Acceuilli par Lionel Souchan et une énorme standing ovation, ce grand monsieur a été introduit par Bob Swaim (président du concours de courts-métrages) puis s'est exprimé durant une vingtaine de minutes devant un public conquis, et ravi. Un grand sens de l'humour, un diction oxfordienne... une leçon de cinéma! Et la soirée ne faisait que commencer. Assis juste devant moi, avec sa famille à ses cotés, se trouvait Jonathan King. Retenez bien ce nom car on a pas fini d'en entendre parler... Il est l'auteur du film qui a fait plier de rire le très guindé Espace LAC, avec son film ''Jacksonien'' (on va souvcent, c'est certains le comparer à son compatriote) Black Sheep, une hilarante et très gore histoire de moutons mutants qui envahissent la campagne néo-zélandaise. Un véritable plébiscite a conclu le film, devant un jeune ciénaste médusé et ravi.
Dernier film (pour nous) de la soirée: Rinne, de Takashi Shimizu (l'auteur de Ju-On), une histoire de... devinez... en mille... de fantômes japonais!! Mis à apart le fait que je commence à en avoir raz le bonnet de ce type de film, je dois admettre que Rinne est assez bien maitrisé, avec un twist final assez sympathique.
Mais bon... A demain, pour le palmarès et le compte-rendu de la cérémonie de cloture.
Publié le dimanche 4 février 2007 à 10h45
Source : scifi-universe.com
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