Turkish Star Wars [1990]
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Impatience Bientôt

Murat, pilote de vaisseau spatial, et son coéquipier combattent des extra-terrestres. Ils s'égarent sur une planète, qui sera prise d'assaut par l'Empire Tyrannique. Les impérialistes comptent dominer l'univers grâce à l'intelligence humaine : Ils prennent des cerveaux humains pour constituer un seul cerveau gigantesque. Murat combattra l'Empire et deviendra le très légendaire homme qui sauva le monde.

Date de sortie au cinéma en France : 1er janvier 1990
Titre Original : Dünyayi Kurtaran Adam ► 3 autres noms
Oeuvre : Star Wars
Thèmes abordés: Science-Fiction , Grands Classiques , Space Opera , Lutte du Bien contre le Mal

Casting de Turkish Star Wars

Les personnalités principales et leurs rôles dans le casting

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Commentaires des membres (4)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • 100
    Comment ça se fait que je sois le premier à mettre un commentaire ?
    Ce film est tout simplement énorme ! C'est le film le plus mal réalisé que l'on connaisse, je ne vois pas comment on peut faire pire, sans faire exprès.
    Des stock-shots de films divers, des musiques piquées à Star wars ou Indiana Jones, des combats ridicules tout comme les monstres et aliens combattus. Des dialogues idiots et des acteurs peu convaincants.
    On ne s'ennuie presque jamais dans ce film, il se passe toujours quelque chose de bien "nanar" pour nous faire éclater de rire. Et à la fin du film, c'est l'apothéose, tous les éléments qui font de ce film un nanar sont réunis à la fin du film, dans un combat final à mourir de rire, et pour clore cette scène, l'effet spécial le plus pitoyable qu'on ait jamais vu !
    Film à voir absolument pour les amateurs de second degré et de nanars.
    Fry3000
    le 9 mars 2008 10h41
  • 80
    Voici le film qui prouve qu'il faut faire plus attention aux productions venues d'ailleurs que l'Occident. Qui nous rappelle que les années 80 furent une période bénie, imaginative. Qui nous fait sauter aux yeux qu'on peut arriver très loin avec le strict minimum en termes de moyens, même en s'attaquant à quelque chose d'aussi complexe que la SF. Jack Black faisait récemment le mariole, dans "Be kind, rewind", à reconstituer avec trois guirlandes et deux poubelles l'esprit de Ghostbusters. Voici le film qui enfonce ces pitreries, et dans les grandes largeurs.

    Tout est en place pour faire de ce film la pire daube selon les critères occidentaux: il y a la repompe des images de Star Wars en guise d'effets spéciaux, le thème d'Indiana Jones qui revient jusqu'a la nausée, les dialogues surréalistes ("Peut-être sommes-nous crashés sur une planète uniquement peuplée de femmes, je devrais les siffler avec mon super-pouvoir de sifflement auquel aucune ne résiste"). Les deux héros semblent sortis d'un cross-over entre David et Jonathan et les bioman. Le premier ressemble à Leonard Nimoy, le second à Dominique Strauss-Kahn. Ils ont la volonté de combattre le mal par la seule volonté du cerveau humain et pensent qu'une guerre nucléaire aurait été évité si les gens riaient plus. Leur ennemi leur envoie des peluches de deux mètres avec des griffes qui n'ont ni yeux ni bouches, mais une grosse moustache, la coupe au bol et font des bruits d'essoreuse à salade.

    Tout est en place pour un ratage total. Ce qui empêche ce film de rejoindre la grande horde des nanards de science fiction qui l'ont précédés et suivis, c'est l'incroyable énergie, quasiment l'obstination, qu'on mis les participant à ne rien faire correctement pendant une heure trente. Le jeu d'acteur confine à l'immobilisme, le scénar' à l'absurde, le montage est parfois incompréhensible, les bruitages sont faits au Bontampi., et, miraculeusement, après 20 minutes d'ennui profond, ça fonctionne. On rentre avec un plaisir quasi-pervers dans le jeu qui consiste à savoir qu'est-ce qu'ils ont bien pu trouver pour égaler la scène d'après. Et la chose prend rapidement une saveur incroyable pour qui cherche juste à rire un grand coup.

    Pas étonnant du coup que le machin soit devenu culte: alors même qu'il est le condensé de ce qu'il ne faut jamais faire dans un film, force est d'admettre qu'il accède involontairement au panthéon des plus grand films comiques de tout les temps. Pas au niveau d'un Chaplin ou d'un "Sacré graal", mais très largement au-dessus des hectolitres de "Spaceballs", "Y'a-il un flic..." et autres machins soit-disant calibrés pour faire rire, mais qui ont oubliés une rêgle simple: le rire le plus efficace vient de l'absurde et du spontané. C'est à se demander si Cüneyt Arkin est le Ed Wood turc ou juste un génie incompris.
    Bruzor
    le 29 mai 2008 20h13
  • 100
    Trop cool!!!la fin avec les effets speciaux trop nul,les millions de monstres comme les squelettes,les hommes-dinosaures,homme-lion,
    diable.
    Ray
    le 16 avril 2010 18h44
  • 90
    Le plus grotesque nanar qu'il m'ait été donné de voir. Tout est à jeter(rire) dans ce film, les effets speciaux (si ca peut s'appeler comme ca), les sauts/trampolines, les peluches, les faces de pizza...

    C'est un film qui tient avec trois bouts de latex, qui copie colle sur des vrais films, et à prendre au millionneme degré entre potes. A se pisser dessus.
    clioviet
    le 29 novembre 2012 19h19

Informations complémentaires sur Turkish Star Wars

  • Titre (France) : L'homme qui va sauver le monde
  • Titre (France) : Turkish Star Wars
  • Titre (Turquie) : Dünyayi Kurtaran Adam