Dieu est mort. Pas ses enfants...
La suite de American Gods bientôt en librairie !

Oyez ! Oyez ! Braves gens !
Vous n’êtes pas sans ignorer que la maison d’édition Au diable vauvert a édité il y a maintenant trois ans un chef d’œuvre de la littérature SF : American Gods, de Neil Gaiman, auteur considéré comme l’un des plus brillant représentant de la nouvelle vague du fantastique contemporain.

Dans American Gods, il explorait l’âme de l’Amérique et ses représentations, à travers un affrontement sans merci entre anciennes et nouvelles divinités (les anciens dieux saxons face aux nouveaux dieux de la technologie et du consumérisme) dans un thriller épique, best-seller aux USA, vendu à plus de 10.000 exemplaires en première édition Au diable vauvert, et à 25.000 exemplaires en poche chez J’ai lu.
Un de nos internautes émettait un avis exempt de tous reproches sur le livre :
« Neil Gaiman démontre avec ce roman, s'il en était encore besoin, qu'il est vraiment l'un des meilleurs auteurs actuels ! L'histoire est fantastique tout en étant incroyablement réaliste, le fait de placer ces personnages fabuleux dans un contexte "normal" rend l'histoire terriblement prenante. Il faut ajouter à cela le talent littéraire de Gaiman : les clins d'oeils mythologiques sont nombreux, l'humour est omniprésent, c'est crû, parfois crade, et jamais ennuyeux ! Vraiment un livre à lire absolument (en plus la traduction est excellente) ! »
Normal, la traduction étant le travail de Michel Pagel, écrivain frenchy de SF de grand talent.
Et bien la maison d’édition Au diable vauvert, nous fait le plaisir de rééditer ce chef d’œuvre en format broché, que vous retrouverez dans toutes les bonnes librairies à partir du 25 mai 2006.
Et ils ne s’arrêtent pas là les diablotins, puisqu’ils nous proposent, et c’est la véritable raison d’être de cette news, la suite tant attendue et inédite en France, de American Gods !
Anansi Boys paraîtra donc le 25 mai 2006 !

De retour dans l’univers de son best-seller, l’incomparable Neil Gaiman nous offre un voyage kaléidoscopique au cœur d’un mythe contemporain, surprenant et férocement drôle ! Il renoue avec une mythologie moderne où l’on retrouve une sombre prophétie, des désordres familiaux, des déceptions mystiques, et des oiseaux tueurs. Sans oublier un citron vert.
Présent dès sa sortie sur les listes des meilleures ventes aux Etats-Unis, ce roman marque le grand retour de Neil Gaiman à l’humour.
Le mieux est encore de laisser l’auteur présenter son livre :
« Comme American Gods, Anansi Boys parle de gens et de dieux, mais surtout de familles, et de comment leur survivre. Mais contrairement à American Gods, Anansi Boys est le genre de bouquin qui fait rire. C’est une espèce d’histoire effrayante et drôle, pas vraiment un thriller, pas vraiment de l’horreur, pas non plus une histoire de fantômes - bien qu’elle contienne au moins un fantôme -, ni une comédie romantique - bien qu’elle contienne plusieurs histoires d’amour et qu’elle soit incontestablement une comédie, à part ses passages effrayant. Si on devait absolument le classifier, se serait probablement une épopée magico-horrifico-thriller-fantastico-romantico-familiale, même si cela exclut son côté polar et tout son aspect culinaire. Honnêtement, moi, je n’ai fait que l’écrire. Bref, quoi que ce soit, c’est un livre de moi. Et je me suis vraiment amusé en l’écrivant. »
On vous aura prévenu : Dieu est mort. Pas ses enfants…