Critique Painkiller [2004]
Avis critique rédigé par Ju le samedi 13 octobre 2007 à 17h31
Devenez le pire cauchemar du Diable
"La nuit était noire, trop sombre, il pleuvait trop, j’étais trop pressé… Cette camionnette, ce flash… Je suis mort avec ma femme…
Le Paradis ?... Apparemment non, mais je semble être le seul de nous deux au purgatoire, vous savez cette antichambre entre le Paradis et l’enfer… Alors je demande à Pedro : - Dis moi coco on est où ici, et t’attends quoi de moi ? - … - Nettoyez les enfers ??? Et bien ! Rien que ça ? Merde !... Tout ça pour retrouver ma femme… Hummm heureusement que c’est la reine du Makowieck…"
Ok j’ai super travaillé mon introduction pour donner un côté super romantique, vous avez aimé ? Et bien c’est fini. Painkiller est sûrement le jeu le moins fin auquel j’ai pu jouer ces 15 dernières années. Le joli scénario d’intro (celui avec la larme au coin de l’œil) est surtout là pour expliquer pourquoi vous allez vous faire une jolie descente en Enfer tout au long d’une vingtaine de niveau.
Bon une fois que vous avez acceptez de travailler pour Dieu, hop hop hop, go to Hell !!! Alors après c’est tout simple : vous "butez" tout ce qui s’approche de vous. C’est pas compliqué, vos adversaires sont débiles et vous vous êtes là pour les massacrer… Jusque là tout va bien non ?
Bon au-delà du traditionnel "destroy them all", genre vous avez un super flingue qui "désosse" tout, vous pouvez récupérer les âmes des damnés que vous venez d’expédier ad… Expédiés où déjà??? Bah ailleurs, on s’en fiche ! Donc pour en revenir à ces âmes, quand vous en totalisez 66 ("il en manque pas un de "6" genre number of the beast?" … "Non Pedro ce serait trop long pour les récupérer"), une fois ces 66 récupérés vous devenez un… Démon, bah oui rien que ça et pour un temps déterminé ! Et alors là, vous détruisez tout ce qui bouge en étant invincible ("Ouah le pied de voir tout comme un démon en massacrant tout à la main").
Voilà, là c’est résumé.
Les graphismes sont très sympa, le gameplay tout ce qu’il y a de plus intuitif et surtout, surtout, même avec l’arme de base vous allez vous faire plaisir à détruire toutes ces armées de démons débiles mais variés. Entre les soldats, genre chevaliers maudits, les sorciers, les chiens, les boss… Vous verrez, vous n’aurez que l’embarras du choix ! Et le tout sur des niveaux variés mais à l’ambiance particulièrement gothique. De plus, il est à noté que dès que l’action pointera le bout de son nez, vous serrez submergé par les riffs destructeurs de Mech… Miam. Au fur et à mesure de votre progression et de la découverte de caches dans les niveaux, vous obtiendrez aussi des cartes de tarot qui vous offriront quelques jolis petits plus bien sympas, mais je vous laisse le découvrir par vous-même.
Le jeu ne nécessite pas une grosse configuration, même à l’époque de sa sortie. Malgré le fait qu’une tripotée de monstres soit en train de foncer sur vous, aucun ralentissement ne sera notable.
La conclusion de Ju à propos du Jeu Vidéo : Painkiller [2004]
Plus qu’un jeu, un défouloir. Ne cherchez pas de finesse, installez le et jouez. Ne réfléchissez pas à une tactique quelconque, quand vous arriverez dans une église sataniste et qu’un gros méchant cherchera à vous estourbir, vous n’aurez d’autre choix que de criez votre rage et de tirer dans le tas. Ce jeu n’est donc pas fait pour les âmes sensibles mais plus pour ceux qui veulent évacuer leur trop plein de pression en détruisant le mal. Enjoy…
On a aimé
- - jouissif tellement il est "bourrin"
- - graphismes très corrects
- - maniabilité parfaite
On a moins bien aimé
- - pas de réflexion
- - scénario léger
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