Equilibrium, un thriller SF en hommage à nos sens
Les critiques de la presse spécialisée

Pour sa première réalisation, le scénariste américain Kurt Wimmer plonge Christian Bale dans un futur où les sentiments sont interdits.
Pour mémoire, Le synopsis Dans les années 2070, les émotions n'existent plus, supprimées par l'absorption du Prozium. Cette drogue antianxiété rend les gens plus heureux et productifs...
Les citoyens de Libria ont trouvé la solution idéale pour mettre un terme à la violence : s'injecter une dose de Prozium, une drogue qui annihile toute émotion. Revers de la médaille, ils ignorent tout de la joie, de la beauté et du plaisir. John Preston (Christian Bale) incarne l'un des prêtres chargés d'éliminer toute résistance. Lorsque l'un de ses collègues succombe à la tentation, lui-même commence à s'interroger sur son existence. La rencontre d'une jeune femme (Emily Watson) va définitivement bousculer ses certitudes.
Kurt Wimmer cite Huxley, Orwell et Bradbury comme sources d'inspiration de ce film de Science-Fiction aux moyens limités, mais dont les scènes spectaculaires n'ont rien à envier aux péripéties numériques et virtuelles de Matrix.
Les critiques dans la presse spécialisée > Premiere En dehors d'une technique de combat loufoque, où les protagonistes se tirent dessus tout en se filant des gnons, tout ici ressemble à des élements recyclés.
> Ciné Live Un film de Science-Fiction et d'action d'une grande beauté plastique, à la réalisation efficace et au message plutôt consistant. On n'en demandait pas plus.
> Chronic'Art Une mise en scène stupéfiante, explosant le temps de séquences d'action phénoménales qui feraient passer les scènes de combat de Matrix Reloaded pour des entourloupettes.