Rencontre avec... Willy Favre
Il nous parle de Sable Rouge
Sable Rouge est le tout dernier produit des editions du Septième Cercle. C’est un jeu de rôle se déroulant dans un univers med fan dans lequel ont été greffées de nombreuses influences horrifiques, steampunk et planet opera.
Lors du dernier Monde du Jeu, nous avons le plaisir (comme toujours) de rencontrer Willy Favre, un auteur à l’actualité très chargée (il a également participé à la conception du jeu WarsaW, chez John Doe, alors que l’écran Brain Soda 2 était enfin disponible chez Oriflam). Willy, toujours disponible, a accepté d’expliquer aux visiteurs de Scifi Universe les pincipes de son bébé martien.
Publié le samedi 17 octobre 2009 à 19h22
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Sable Rouge
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Willy Favre
20 rôles
Commentaires sur l'article
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C'est bien d'avoir des références, c'est relou de les balancer en permanence.
Une bien mauvaise façon de présenter:
Au final, l'impression qui en ressort, c'est qu'il a pompé la quasi-totalité de son univers à gauche et à droite, sans compter que le tout fait vraiment gros foutoir d'idées qui collent pas vraiment ensemble -_-
Dommage, il avait l'air vraiment passionné...
Euhhh...., le 18 octobre 2009 02h56 -
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C'est bien d'avoir un avis, c'est relou de le balancer sans lire le bouquin avant.
Willy Favre, le 18 octobre 2009 12h14 -
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Tout transpire la passion dans cette interview.
Pour avoir lu le jeu, il est complet, riche, bien foutu et richement illustré
StephLong, le 18 octobre 2009 12h31 -
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Vive l'anonymat du net.
Rom1, le 18 octobre 2009 12h38 -
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C'est bien d'écrire des jeux mais c'est relou d'avoir une tête de vieux !
;)
Wyatt, le 18 octobre 2009 12h41 -
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J'ne critique pas le jeu, je suis même persuadé de sa grande qualité. Les idées telles qu'énoncées ont l'air vraiment sympa à appliquer.
Ce que je critique, c'est la manière de présenter le jeu. Si les lecteurs sont suffisamment renseignés, ils comprendront les références, ce qui fera plaisir. Sinon, non seulement ça ne leur dira rien, mais en plus ça donne juste l'impression (vu le nombre de réf que tu balance), que... ben y'a rien de bien original dans l'oeuvre. Quand on fait un clin d'oeil dans un film, dans la bande-annonce ou dans les interviews de promo, le réalisateur ne dira pas : Alors là notre film il est bien, on fait plein de références à machin et machin.
D'autant qu'une référence remarquée, ça a tendance à flatter l'ego du lecteur donc c'est vraiment dommage de la lui balancer avant même qu'on ai lu le bouquin.
Comme je dit, tu est peut-être trop enthousiaste ^^ (un + comme un - au fond)
Euh...., le 18 octobre 2009 13h58 -
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Depuis quand une inspiration est un simple copier/coller ?
Ça me parait assez difficile aujourd'hui de créer du littéraire fantastique sans être confronté une seule fois à une oeuvre déja existante.
Quand Willy dit qu'il va intégrer des symbiotes qui couvrent l'intégralité de la colonne, il parle d'Alien.
Je ne me souviens pas avoir vu des symbiotes s'intégrer à la colonne vertébrale et posséder une forme d'esprit ruche.
Quand Willy dit que le quotidien avec ses symbiotes, c'est pleurer de la rouille, c'est une référence à 28 jours plus tard, je ne me souviens pas avoir vu autre chose que des yeux au vaisseaux éclatés qui pleuraient du sang, dans les zombies de 28 jours plus tard.
Je vois juste un auteur qui parle de ses inspirations, de ses univers de références, dans lesquels il va puiser pour construire le sien propre. A priori, créer à partir de rien aujourd'hui de rien aujourd'hui c'est une gageure et pas forcement un signe de qualité à l'arrivée.
Que le mélange western-medfan-post apo te rebute, je le conçois.
Que tu descendes le jeu parce que l'auteur confesse qu'il a bâti son univers en l'enrichissant d'idées venus de standards qu'il a remanié pour les rendre cohérentes avec son jeu, me fait penser que tu dois pas jouer à grand chose.
Sur le papier, l'idée de Sable Rouge me laissait sceptique.
Maintenant que j'ai la chance de voir l'auteur, je m'aperçois que l'univers est exploitable, surtout avec ce donjon souterrain et ce côté Vermine à la surface.
Il sera mien.
Sevoth, le 18 octobre 2009 14h25 -
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En pleine lecture du jeu, sincérement très exaltant et pressé de réunir des joueurs pour en savourer ses particularités. La page d'inspirations m'a donné l'occasion de choper de la musique d'ambiance absolument merveilleuse (que j'utiliserai pour Sable Rouge et même ailleurs). Sur le jeu, rien à dire, malgré quelques coquilles (rien au début, surtout durant les règles). Sur l'interview, on sens la passion du gars, il bichonne son bébé, parle vite et balance des clins d'oeil. Pourquoi ? Pour vendre le produit, tout simplement. Si vous connaissez pas le jeu mais si vous avez vu ou lu les références, ça vous tentera, c'est évident. J'ai trouvé la présentation de Willy claire, il connait son sujet et ça pourrait même être un doc d'information sur 'qu'est-ce que Sable Rouge' pour les nouveaux joueurs.
Pour finir :
C'est bien d'être doué et d'avoir des idées, c'est relou d'attendre les publications (Lazarus, pressé, désolé).
Bravo
Lazarus, le 30 octobre 2009 18h32 -
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Je suis entièrement d'accord avec le premier post. Une très mauvaise façon de vendre le jeu. Je n'ai rien contre les références, surtout quand ce sont aussi les miennes. Carpenter, Alien...que du bon matériau. Le souci étant que même dans le bouquin ça se ressent trop ce côté pot pourri de tout ce que j'aime. Willy Favre s'est fait plaisir et là dessus on ne peut le blâmer. Dans jeu de rôle, il y a avant tout jeu. Sauf que les références, il faut savoir soit les mettre au second plan, soit prendre sur soi et se dire qu'on ne pourra pas tout mettre. Sable Rouge m'emballait au plus haut point dans ce que j'en lisais avant sa sortie. Après sa lecture, l'engouement a fait place à une grande déception. Perso, je trouve que tel quel Sable Rouge n'est pas jouable (sauf pour du hack'n'slash de base en one shot). J'attends de voir le développement, en espérant qu'il me fera changer d'idée sur le jeu.
Makoz, le 1er novembre 2009 15h10 -
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Et bin...
Quand on lit certains post on ce dit qu'il faut vraiment être passionné pour continuer à produire des jeux de rôles originaux. En tout cas c'est visiblement plus compliqué de présenter son jeu devant une caméra que de le critiquer sur le net sans même y avoir joué.
Personnellement je n'ai pas fini la lecture de Sable Rouge, mais j'ai longuement admiré ses fabuleux artworks dont le pouvoir évocateur me fait rêver et déjà imaginer un tas de scénarios.
Le jeu est violent ? Que je sache ce n'est pas un loisir réservé à une pseudo élite intellectuelle, qui de toute façon a déjà de quoi se satisfaire avec d'autres produits. A moins que l'on ait à faire avec d'éternels insatisfaits.
Avouer ses références n'est pas un manque d'imagination, mais une façon directe et honnête d'expliquer ce qui a servi de ciment à son oeuvre. D'ailleurs, qui peut se targuer d'avoir eu l'idée de génie que personne n'a eu avant ? Soyons sérieux, nous avons tous nos références, nous ne créons rien, nous arrangeons à notre propre sauce des ingrédients piqués à droite et à gauche, pour en proposer une saveur différente. Willy Favre n'échappe pas à cette règle, et sa cuisine je l'apprécie depuis des années.
Sable Rouge procure une véritable excitation, et il est parfaitement calibré (graphiquement) pour séduire du sang frais, ce dont ce loisir à grandement besoin.
Max Ravage, le 15 décembre 2009 20h37