Critique La malédiction de Poseïdon #1 [2002]

Avis critique rédigé par David Q. le jeudi 6 mai 2004 à 02h14

Ulysse revient...

Un peu de technique
Racontant l'histoire d'Ulysse en s'adressant aux plus jeunes, cette BD est agréable à lire. Les dessins sont nets et la technique d'ombrage rapproche le récit des anciens dessins antiques. Certaines grandes cases en pleine pages nous font d'ailleurs penser à des fresques géantes. Les couleurs sont très vives et attractives, ce qui permet de lire la BD en toute circontances. Par contre les personnages sont assez naifs aux vus des tourments qui leurs arrivent et on sent bien que la BD cible vraiment les plus jeunes. Les scénario est à peu près connu de tous car il reprend les éléments du voyage d'Ulysse, les Dieus se servant de lui pour livrer bataille. Ca peut être l'occasion de (re-)découvrir cette histoire.

La conclusion de à propos de la Bande Dessinée : La malédiction de Poseïdon #1 [2002]

Auteur David Q.
49

Au final, on se retrouve avec un premier tome d'Ulysse plutôt sympathique. Les aventures s'enchainent vite, trop vite peut-être. Certaines assez peu développées ce qui donne une impression de vide ou de manque qu'un peu d'humour et de fantastique supplémentaires auraient pu combler. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est trop sérieux, mais vu la cible, presque. On attendra donc de voir si Ulysse évolue et prend un peu de maturité dans le tome 2.

Dernières critiques de David Q.
Critiques de BD de David Q.
► la Bande Dessinée malédiction de Poseïdon (La)
► L'oeuvre L'Iliade & l'Odyssée

Acheter la Bande Dessinée La malédiction de Poseïdon en un clic

Nous vous proposons de comparer les prix et les versions de La malédiction de Poseïdon sur Amazon, site de vente en ligne dans lequel vous pouvez avoir confiance.

Retrouvez les annonces de nos dernières critiques sur les réseaux sociaux

Sur Facebook | Sur Twitter

Critiques liées

  • Voir la critique de L'odyssée
    75

    L'odyssée

    par Nicolas L. | Lecture : 4 mn 29

    La grande traversée selon Homère : Si le téléfilm d’Andrei Konchalovsky ne suit pas à la lettre le poème épique d’Homère, on ne peut lui reprocher une absence de coh…