Sunshine [2007]
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Impatience Bientôt

En cette année 2057, le soleil se meurt, entraînant dans son déclin l’extinction de l'espèce humaine.
Le vaisseau spatial ICARUS II avec à son bord un équipage de 7 hommes et femmes dirigé par le Capitaine Kaneda est le dernier espoir de l’humanité. Leur mission : faire exploser un engin nucléaire à la surface du soleil pour relancer l’activité solaire.
Mais à l’approche du soleil, privés de tout contact radio avec la Terre, les astronautes perçoivent un signal de détresse en provenance d’ICARUS I, disparu sept ans auparavant.
Un terrible accident les contraint à modifier leur trajectoire. Ils doivent désormais lutter pour rester en vie, ne pas sombrer dans la folie, mais avant tout pour mener à bien leur mission essentielle pour l’avenir de l’humanité.

Date de sortie au cinéma en France : 11 avril 2007
Casting principal : Chris Evans (Mace) , Hiroyuki Sanada (Kaneda) , Rose Byrne (Cassie) ... ► Casting complet
Oeuvre : Sunshine
Thèmes abordés: Science-Fiction

Photos & Affiches de Sunshine

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Casting de Sunshine

Les personnalités principales et leurs rôles dans le casting

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Commentaires des membres (14)

L'avis de la communauté SciFi-Universe.

  • 40
    Il est toujours délicat de rédiger la critique d’un film quand on est fan d’un genre cinématographique. Le plus dur étant de ne pas tomber lors du visionnage dans l’analyse sytématiques de chaque plan. Surtout d’échapper à la comparaison à d’autres films, d’y deviner les clins-d’oeil du réalisateur, de juger la crédibilités scientifique( si le propos du film en dépend), ou des effets spéciaux...?Pourtant certains films arrivent à supplanter ce mauvais reflex du spectateur féru de SF. Souvent d’ailleurs ce n’est pas par les effets spéciaux ou l’argument scientifique. C’est avant tout par la mise en scène, les décors, le casting, le jeu des acteurs et l’histoire. ?Sunshine est un énième film sur le devenir catastrophique de l’humanité dont le sort est entre les mains d’une poignée de héros. Il s’agit là d’un cadre qui n’est en rien un obstacle à la réussite d’un bon film. Reste le talent du réalisateur et de toute l’équipe du film. Avec “28 jours” Danny Boyle réalisait un film qui dès les premières minutes nous arrachait à nos références de cinéphiles. Cela ne tenait pas particulièrement à une mise en scène révolutionnaire mais plutôt à une ambiance que le cinéaste avait su nous imposait avec brio. Dès lors les personnages pouvaient évoluer sans risque de dénaturer la tension du film. Comme Spielberg jadis avec “E.T.” Danny Boyle filmait son histoire à la manière d’un genre plus proche du documentaire ou de la comédie dramatique. Le fantastique en était renforcé. Dans Sunshine ce contrast entre la manière et le résultat est quasi-inexistant. Les décors sont volontairement inabituels à un point que l’on est quelque peu désorienté. Dans le Solaris de Sodergerg les décors avait aussi fait l’objet d’une réflexion importante. Tout cinéaste dont la SF n’est pas une vocation première affichée, a une approche original et personnel. Soderberg a certainement réussi en parti son pari en gardant une majorité des codes graphiques du film SF afin de mieux en faire ressortir son travail de mise en scène et de directeur d’acteur. Dans Sunshine les décors interieurs du vaisseau IcarusII rappel parfois des salon de thé à la japonaise ( le Japon est d’ailleurs très présent. Le commandant est joué par l’acteur japonais, Hiroyuki Sanada, On y mange le repas avec des baguettes...) ou bien à des intérieurs plutôt disegn 90’.Le contrast avec l’aspect exterieur du vaisseau rends le tout presque incohérant. Ce vaisseau se devait d’être le 9ème acteur du film. C’est disons presque un exercice imposé. Le premier film qui intégrait avec maestria le vaisseau spatial comme élément aussi important que les personnages centraux fut “ 2001 l’odyssée de l'espace” . Puis influencé par la “crassure” des vaisseaux dans “Star wars” mais aussi sous l’effet hypnotique et sombre de Gigger ce fut à Ridley scott de franchir un autre niveau dans ce partage des rôles entre décor et personnages. Depuis il n’y eu que très peu de nouveauté. Certainement pas d’ailleurs d’un film dont le thème principale aurait dû faire franchir une nouvelle étape dans ce domaine. Je parle bien sûr de Event Horizon. A force de vouloir rendre le vaisseau inquiétant ( salle au design gothique, matrice aux allures de salle de tortures médiévale...), l’intrigue et le suspense tombait à plat. Dans Sunshine il y a bien entendu des éléments de décors qui tentent d’apporter au récit une certaine poésie voir des éléments qui touchent au métaphysique. La salles d’observation du soleil en fait partie. Seulement, comme ce fut le cas avec paul Anderson et son Even Horizon, c’est trop évident. De plus on se croit presque dans un salon dernier cri avec écran plasma et” dolby souroud 5.1”.?Les personnages aussi manquent totalement de profondeur. L’affiche française dans ce sens est d’une maladresse évidente. On croirait presque à une énième production pour ados. Même à ce niveau le film ne s’annonce pas mystérieux ou intrigant. Quand on se remémore des affiches comme celles de “Alien” ou “the Thing” de Caprpenter, on ne peux que rester perplexe. Mais tout cela n’étant pas forcement à la charge du réalisateur, interressons nous aux personnages dans le film. Tout d’abord la moyenne d'âge fait plus penser à l’équipe d’une start’up qu’à une élite dont dépend le sort de l’humanité. Les conflits internes, les erreurs de jugement de certain, la candeurs des autres, tout cela est très premier degré. Dans tout huit clos il est impératif que l’interaction des personnages serve le récit tout en y insérant des moments d’émotion d’intensité et de surprise, autrement dit, “ le facteur humain”. Dans Sunshine les personnages sont chacun d’une seule teinte, sans jamais s’approfondirent au fur du récit. Le personnage de Capa peut-être encore plus que les autres. Au final on ne sais pas qui il est. Ces réactions aux nombreux rebondissements n’ont pas pas la profondeur, l’intensité ou même le naturel pour convaincre et moins encore nous surprendre. Quand il répond que la mort ne lui fait pas peur, personne ne peut réellement savoir pourquoi. Dès lors le spectateur est perdu. Comment alors trouver poignant la scène où l’équipe se trouve devant le dilemme insurmontable de devoir sacrifier des vie pour garantir suffisamment d’oxygène aux survivant pour pouvoir rentrer sur terre après la mission. Cette situation tragique n’est pas inédite au cinéma. Danny Boyle n’a pas exploité son art du cinéma pour la porter au paroxysme tant espéré. Comment ne pas être tenté par la comparaison avec le très méconnu “Stranded” de Luna. Même situation, même décors. Et pourtant dans ce film à moindre budget le facteur humain y est prépondérant avec des acteurs totalement imprégnés de l’intensité du drame auquel ils font face. ?L’aspect mystique, spirituel ou métaphysique dans Sunshine est tout aussi gommé par des manquement à la fois scénaristique, visuels et narratif. Pourtant la scène où Capa apprend qu’il y a un passager non identifié à bord du vaisseau est certainement la plus intense. Qui est-il, pourquoi, comment...Cette impossibilité est plus surprenante que tous les autres rebondissement du film. C’est certainement la seule scène qui nous offre un certain vertige. Le film devait dès lors nous permettre de décoller. Non. Le film atterrit sur une piste glissante. Au lieu d’approfondir, d’opacifier la situation, Danny Boyle nous plonge dans une course poursuite dans les couloirs du vaisseau entre Capa et un pseudo mystique défiguré et flou, sorte de freddy virtualo-réel prônant dieu et la poussière à laquelle nous devons tous retourner. L’action l’emporte sur le contenu. Je conseil d’ailleurs au passage la lecture (si traduite) d’une des BD de la série "l’oiseau de feu ( Hi no Tori)” de Osamu Tezuka, “ Espace”. Le thème du passager inconnu glace le lecteur. Même dans les scène ou le “ spectre/zombie” s’attaque au derniers survivant du Icarus II, on reste sur notre faim. Le plan de Capa derrière son hublot bien que très bien filmé n’arrive pas à rivaliser avec celui de Ripley dans le premier “Alien” lors de la scène finale. Certes il ne faut pas toujours comparer. Mais Danny Boyle cite ces films comme des chef-d'œuvre auxquels il à tenter de se mesurer à sa façon.
    On sort de ce film sans même avoir eu droit à une idée, une réflexion, une parabole, et encore moins à une intrusion dans l’univers d’un cinéaste. C’est décevant après les réussites du réalisateur. Soulignons toutefois la beauté des effets visuels. Tout comme dans le Solaris de Soderberg l’espace, et ici le soleil (la planète Solaris pour Soderberg ), y sont tout simplement sublime. C’est peut-être là le plus grand échec du film. Seul y brille vraiment ce soleil sans que pour autant Danny Boyle lui ai accordé une intensité autre que les lumens qu’il génère. Comme Icar, Boyle s’est mesurer à un astre et s’est brûlé les ailes.
    ?
    mijinko
    le 12 avril 2007 15h08
  • 70
    Un film directement inspiré du "vaisseau de l'au-delà" et son vaisseau l'Event Horizon à la fois dans le déroulement, pour certains effets spéciaux et sur le thème du mal losrque l'homme est trop loin de sa planète d'origine. Interessant mais pas à la hauteur de 2001 odyssée de l'espace qui reste le seul film qui respecte la science et la relation entre le beau et le vrai et le silence ..
    fantomas53
    le 13 avril 2007 09h39
  • 60
    J'ai personnellement bien aimé ce film. J'ai été fasciné par la façon dont on démontre la puissance du Soleil. Notez la différence entre 2% et 3.1% de la lumière filtré!!! Par contre, lors du visionnement j'ai été déçu à quelques reprises de la tournure des évènements et de certaines prises de vues ou effets visuels un peu trop "artistiques" à mon goût. Mais en générale c'est un bon film à voir!
    ZoneTeam
    le 15 avril 2007 07h33
  • -
    Excellente critique de mijinko.A propos de l'aspect japonnais dans l'Icarus II,je dirais que l'Univers est en soi "un jardin ZEN" infini et que peut-être il y avait déjà de "l'orientalisme" dans l'aspect comtemplatif de 2001 Odyssée de l'espace. Lisez "cinq méditations sur la beauté" de François CHENG de l'Académie française et vous ferez aussi le lien entre vrai (impitoyable) et beau (indifférent).
    Pour aller sur la planète Mars, il faudra peut-être embarquer l'âme d'un Touareg ou d'un Maître Japonnais dans l'équipage pour appréhender ce nouveau désert et éviter les suprises.
    fantomas53
    le 15 avril 2007 22h32
  • 60
    Je suis fan du genre et j'étais très emballé par le sujet de ce film. On ne voit finalement pas le temps passer (bel équilibre entre action et situations plus calmes, limite Zen) et le film est esthétiquement très réussi. Les idées abondent, les styles de mise en scéne aussi quoique semblant souvent inspirés de films antérieurs (ambiance 2001 l'odyssée de l'espace, scénes rappelant Alien 1, etc...). Alors pourquoi ce sentiment d'insatisfaction en sortant de la séance?
    Le problème vient selon moi d'un enchaînement de circonstances scénaristiques mal maîtrisé. Je me suis souvent senti contraint de suivre une évolution de scénario qui ne me paraissait pas très logique. Et la fin du film, même si elle est belle et ouverte, me semble insuffisante et trop courte en puissance d'évocation (on flirte entre spirituel et réel) pour sortir du film avec des images fortes collées sur la rétine et des idées fortes et remuantes plein la tête.
    Dommage, tous les ingrédients étaient réunis pour en faire un grand film. A voir comme une curiosité.
    Thierry
    le 19 avril 2007 12h45
  • 10
    Autant jusqu'à environ 1h12 du film avant que l'ordinateur de bord annonce un 5ième passager, on arrive à suivre l'intrigue du film non sans l'éternel question qui revient constament :" Dois-je partir avant la fin?" , Tant bien que mal on tiens bon et on décide de rester jusqu'au bout , oui on a quand même payer assez cher la place, donc foutu pour foutu autant souffrir en silence.

    A partir donc de l'annonce du 5 ième passager, on ne comprend absolument plus rien tout devient flou et là je parle pas que du scénario , non non c'est bien de l'image elle même dont il est question entre flash back, gros plan, les vues dans le casque de notre ami physicien et les flous à ne plus savoir qu'en faire on ne comprend plus rien du tout de ce qui se passe dans la scène finale.

    Un seul conseil: n'y allez pas gardez votre argent pour autre chose, ce film c'est de la daube ^^
    shaltar
    le 20 avril 2007 05h14
  • 20
    Franchement soyons lucides : ce film est une ode au vide créatif, un grand voyage vers le rien, une odissée qui tourne à la blague. On s'ennuie autant que devant la mire : c'est pas moche visuellement mais ça ne sert à rien.
    - histoire poussive qui sur un prétexte de mission de la dernière chance sous forme de supositoire solaire oppose dieu à l'homme dans la suggestion
    - profils psychologiques très stéréotypés et non développés, sans espoir d'être au mieux balayeur à la nasa.
    - invraissemblances physiques qui détruisent le semblant de scénario
    - prévisibilité infaillible
    - casting façon publicité cosmétiques et jeux d'acteurs quelconques
    - effets spéciaux non exceptionnels et qui ne servent pas l'accroche.

    Dany Boyle s'est rendu minable sur ce coup là (mais a t'il mérité un jour d'être connu ?). N'importe qui ne peut pas espérer être reconnu pour un talent de grand cinéaste après un succès de mode dans un style cloisonné. La passion les gars, la passion svp...

    Si on a que des adaptations ciné de ce qui a déjà été pensé en littérature ou comics (voire dessin animé) en guise d'avenir de la SF grand écran, je suis dans la conviction que l'agonie de la SF grand spectacle est en cours.

    Je vous conseille un crème solaire indice 60 pour éviter ce film très insipide.
    realfeel
    le 5 mai 2007 13h36
  • 30
    Sunshine est bien pauvre en réalité...
    Faiblard et soporiphique c'est actuellement ce que j'ai de mieux pour le qualifier.

    La faute à qui alors? Pas les effets spéciaux qui sont malgrès tout au rendez-vous (mais sans grand intérêt), mais plutôt à un scénario bateau qui n'a pas su piquer mon attention. Pendant la majeur partie du film j'ai cru que j'allais m'en dormir, après 1heure un petit rebond s'opère, mais bon, c'est du grand n'importe quoi. C'est du méli-mélo à l'état brut.

    Grosse déception...
    Kopecz
    le 15 mai 2007 09h57
  • 80
    Non ce n'est pas Alien, oui c'est un film catastrophe.....toutes ces critiques pour dire qu'avant c'était mieux, mieux dit , mieux fait....
    SUNSHINE est superbement bati & réalisé!!!!!!!!!!!!!!!c'est de la SF pure et dure, à voir!! c'est tout!
    Kaatrix
    le 17 juin 2007 21h49
  • 90
    En allant voir ce film au cinéma je pensais m'attendre à un énième film catastrophe basique sans fond juste spectaculaire(du genre armageddon). Pourtant dès les premières minutes du film , on sent que l'on rentre dans une histoire dur psychologiquement(la musique y aide beaucoup).La tension dans le film est vraiment palpable, on parle de sacrifice pour l'humanité comme je n'en avait pas vu auparavant. Danny Boyle a su mélanger deux genre la Sf et les films catastrophes avec brio.Alors merci danny
    jake
    le 8 septembre 2007 14h11
  • 40
    j'adore la SF, mais pas celle ci, le réalisateur nous a mélangé divers films cultes pour en reconstruire un qui n'a pas le goût de ce qu'il a du imaginer...
    entre le passager supplémentaire, le vaisseau qui dérive dans l'espace, notre bonne vieille planête qui va mourir si des héros ne balancent pas une bombe dans le trou de l'astre, ca en fait des choses à raconter, et je dois ajouter que certaines scènes où l'on voit nos soleillonautes sauter d'un vaisseau à l'autre, m'a rappelé également l'excellent "Abyss"... j'ai tenu bon pour ne pas m'endormir en tout cas. mais la prochaine fois, je ne promets pas de résister à l'appel de la couette.
    Kureuil
    le 24 septembre 2007 22h14
  • 70
    J'avais attendu longtemps avant de le voir ; appréhension par rapport au sujet, casting d'inconnus (à part Cillian Murphy). Mais finallement Sunshine s'est révélé une bonne surprise pour moi.
    C'est clair ce n'est pas un Alien, mais ce n'est pas non plus un Apollo 13. Ca reste de la bonne SF, superbes effets spéciaux, bon suspense... Un bon film du genre.
    Juste une petite fausse note je dirais, comme shaltar, à partir du moment où Capa découvre le 5e passager l'intrigue et l'image deviennent flou est ça devient un peu un joyeux bordel jusqu'à-au final "rayonnant".
    Mais je sors quand même plutôt content de ce film.
    VinceD
    le 13 décembre 2007 11h47
  • 20
    J'ai adoré "28 jours plus tard" de Danny Boyle, alors du coup je me suis dit, cette fois, je vais me régaler.

    Ben, non...

    Alors pourquoi ?

    Intro:
    Une mission spatiale doit sauver la terre en explosant une bombe sur le soleil. Mouais, déjà, l'intro, pas trop crédible. Des explosions thermo nucléaires à répétition, je crois que c'est un peu la base du soleil. Alors une bombinette de plus, ca va changer quelque chose ? M'enfin, je ne m'arrête pas à ça.

    Bref, je continue. Malheureusement, la suite, c'est assez prévisible.
    Ya pas d'alien, ni de menace bio, peu être des défaillances techniques qui peuvent survenir, alors qu'est ce qui peut arriver à notre équipage ?

    Parce qu'on se doute bien que pendant 1h40, va y avoir un peu d'actions et de suspense.

    Ben, là, on joue sur la psychologie des personnages. Un peu de mégalo, de parano, de castagne entre des perso post ado pseudo scientifiques et voilà, vous avez votre scénario qui se passe dans un huit clos. Le problème, c'est qu'on a vu et revu ce genre de movie.

    Certes:
    - ya un méchant vraiment méchant qui vient pimenter un peu le scénario. Mais bon, la façon Danny Boyle a mis en scène ce perso à la sauce Freddy, est franchement pas convaincante.
    - l'image est belle (fini la DV ;-) à papa), les scènes 3D exterieures autour du soleil sont convaincantes,
    - la musique accrocheuse (même genre que "28 jours plus tard", c'est le même compositeur)

    Mais j'ai finalement pas accroché.
    J'ai du mal à me faire à l'idée que ces gars sont dans l'espace, alors que je sais très bien que c'est tourné en studio du genre.

    J'ai même passé certaines séquences en accéléré, c'est dire.

    Qu'est qui aurait pu sauver le film ?
    "28 jours plus tard" nous avait scotché litéralement en explosant les codes du genre zombie en nous surprenant continuellement.

    C'est ce qui manque gravement au film.
    Manu
    le 19 janvier 2008 21h03
  • 80
    Après le cinéma d'horreur avec "28 jours plus tard" Danny Boyle s'approprie et transcende à nouveau un autre genre : celui de la science-fiction.

    Visuellement époustouflant, le film n'est pas en reste au niveau sonore avec une musique et des sfx de toute beauté. C'est simple au niveau purement technique, on frôle la perfection.

    Pour ce qui est du scénario et des acteurs, le film tient aussi ses promesses ; du moins dans ses 2 premiers tiers. Bien des questions sont posées et l'histoire racontée dépasse de loin le simple divertissement et nous amène à nous interroger sur le statut de l'humanité. Malheureusement, la dernière partie se perd un peu dans le grand-guignol et se dirige surtout vers une fin un peu trop attendue à mon avis.

    Reste donc une experience à voir sur grand écran et si possible en HD.
    A ne pas bouder !!!
    FRAMETO
    le 7 juillet 2008 19h35

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