Vélum ► Critiques & avis sur le roman
Critiques du staff sur le roman Vélum
Les critiques de nos experts et passionnés.
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95
La critique de Nicolas W. : Entre Anges, Démons et Vélum
Pour la conclusion, retrouvez là au début du texte, c’est là la meilleure des façons de comprendre l'essence de ce livre.
Lire la critique complète de Vélum par Nicolas W. -
90
La critique de Manu B. : Le livre de toutes les heures
Ambitieux, exigeant, surréaliste, fou, incompréhensible, démesuré, exceptionnel... Vélum est un livre dont les adjectifs manquent pour le qualifier. Un livre à part, sans l'ombre d'un doute. Hal Duncan revoit le concept même du roman et la façon de lire. Une expérience littéraire à expérimenter! Entrez dans le Vélum.
Lire la critique complète de Vélum par Manu B.
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Commentaires des membres (3)
L'avis de la communauté SciFi-Universe.
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-Très jolie critique...
...Qu'on aimerait voir plus souvent.
oman.
oman
le 16 octobre 2008 08h51 -
100J'en suis à la première relecture et je pense même relire une troisième fois la seconde partie du livre, dont les morceaux sont plus difficiles à assembler. Preuve s'il en est qu'Hall Duncan a parfaitement réussi à rendre réél la suréalité multidimensionnelle du vélum par la façon dont on est obligé de le lire pour le comprendre. Que du bonheur quand on comprend soudain le sens d'une phrase en se souvenant de ce qui a été déjà dit en avant ou en arrière de la narration. Bien que nous, lecteurs, soyons coincés physiquement dans une seule dimmension de temps, notre esprit, lui, doit faire des sauts à gauche, à droite, en haut ou en bas, ou mieux, à côté. Une lecture atemporelle en quelque sorte. Jouissif pour lecteurs amortellement envoutés.
hyperion
le 17 janvier 2009 08h47 -
90Si Velum fut un grand moment de désarroi puis de passion, devenu une hantise (au sens de hanter, occuper de l'intérieur), relu avec acharnement et bien plus de compréhension avant d'enchaîner sur le didactique Encre -que j'ai attendu des mois en harcelant mon libraire pour finalement louper la sortie-, Encre, donc, m'a curieusement laissé un goût d'inachèvement. C'est peut-être le but. Mais je me serai volontiers passée de l'épilogue (ou, romans dans le roman, comment ma famille m'aurait inspiré si j'en avais eu une doublé de avec la mortalité l'âme que j'ai conservée est hétérosexuelle). Cela dit, je n'ai peut-être rien compris à l'épilogue... pas plus qu'à plein d'autres choses, sans doute. Quoi qu'il en soit, ce Duncan est cintré, nourri à la panse de brebis farcie au peyotl et bon dieu que ça fait du bien !
charlotte
le 1er décembre 2009 16h50
5 avis sont disponibles pour une moyenne générale de 93 sur 100.