La terre est devenue un immense désert à la suite d'un cataclysme. Dans un monde où ne subsistent plus que quelques traces de civilisation, c’est la loi du plus fort. Juju, adolescent vigoureux, appartient à l’un des gangs qui sévissent pour le compte des nouvelles organisations en place. Il fait alors la connaissance de Rael, une magnifique guerrière qui détient peut-être la clé du salut de l’humanité.
Titre Original : Agharta 1
Oeuvre : Agharta
Thèmes abordés: Science-Fiction
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Commentaires des membres (1)
L'avis de la communauté SciFi-Universe.
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20(Note: Cette "critique" compte pour toute la série, où du moins les quatre premiers tomes)
Agharta aurait pu être un bon manga, doté d'un monde intéressant et d'un scénario magnifiquement alambiqué comme seuls les nippons savent en faire (d'où la comparaison à Blame), s'il n'avait pas été plombé de la plupart des défaut du genre où il s'inscrit.
On est d'emblée propulsé dans un monde qui se veut dur, et l'on voit donc diverses scènes de meutres ainsi qu'un "viol" (qui tourne bien vite à l'exposage de nymphètes). Seulement si l'on gratte un tant soit peu, on découvre que le monde ne présente qu'un verni de dureté. Craqué et écaillé le verni. L'ambiance devient vite légère et un grand nombre de "gags" et autres stupidités viennent anéantir le monde post-apo auquel on avait brièvemment cru.
Les héros ne valent guère mieux. Non, attendez, ils sont pires encore. Le héros, affublé du nom assez ridicule de Juju est censé être un adolsescent orphelin élevé à la dure, donc mature et très loin d'être un saint. Mais non, il se touve que notre Juju est un jeunôt assez ridicule quelque part entre Sangoku de DB et un quelqconque héros Gundam-esque.
Il est accompagné d'un homme plus vieux, ridicule et obsédé. Vous avez saisi le stéréotype ?
Au côé des deux hommes, l'on trouve deux jeunes filles, l'une est une froide machine à tuer, taiseuse et mystèrieuse et l'autre une fille nerveuse et peu égoïste. Comme de bien entendu, ces deux nymphètes forment avec Juju un triangle amoureux des plus classiques.
Pour completer le tableau, on a des "bad guys" qui laissent un amer gout de déjà vu dans la gorge.
Agharta ne se démarque guère non plus par son scénario qui se veut sombre et complexe et qui n'est qu'un grand et ridicule caffouillage. (La palme pour le combat lourd, confus et chiant qui s'étend sur une moitié de tome et qui n'apporte en soi aucune information intéressante.)
Malgré tout le dessin est parfois agréable et certain chara-designs sont très réussis.
Le mangaka a essayé de remonter l'intérêt de son oeuvres par diverses scène de nudité (Raële semble n'éprouver aucune gêne à se ballader nue en public), mais cela ne suffit bien évidemment pas à en faire une aqquisition recomandée.
Agharta est donc un seinen raté qui s'enfonce dans les pires clichés du genre en repprenant les pires des caractéristes des shônen.
A eviter, donc.
Derfel
le 2 août 2003 14h00
Informations complémentaires sur Agharta 1
- Titre (France) : Agharta 1
- Titre (Japon) : Agharta 1