Critique Resident Evil : Director's Cut #1 [1997]

Avis critique rédigé par Bastien L. le dimanche 9 juin 2013 à 12h27

L'essence du survival-horror

Testé sur PS3
Attention, ce test n'est pas une critique du jeu à sa sortie mais de sa version dématérialisé sortie en mars 2011 sur le PSN pour 10 euros.

Malgré un certain succès commercial, Resident Evil 6 semble décevoir pas mal de fans de la série à cause de sa résolument action tendant à n'en faire qu'un TPS de plus. Une baisse qualitative d'autant plus regrettable lorsque l'on se souvient de l'excellent premier Resident evil. Sorti en 1996, ce premier épisode révolutionna en effet l'industrie et passionna des millions de joueurs en offrant une expérience inédite sur la première console de Sony, la PlayStation. Resident evil fit alors partie de ces jeux qui donnèrent ses lettres de noblesse à la génération des 32-bits (avec Metal Gear SolidFinal Fantasy VII ou Gran Turismo), popularisant au passage le genre du survival horror.

Si Resident Evil s'inspirait de Alone in the dark et d'un produit maison sorti sur NES en 1989, Sweet Home (deux expériences angoissantes dans des lieux fermés allant donner une ligne directrice  à l'histoire), on doit avant tout cette prouesse vidéoludique à une homme, Shinji Mikami, concepteur de génie doublé d'un excellent sens de la mise en scène. Le résultat fut un succès tant critique que commercial, donnant le coup d'envoi à d'excellentes séries horrifiques nées sur le territoire japonais telles que Silent Hill, Project Zero ou encore Forbidden Siren.

Ce succès appela forcément une suite, qui mit un certain temps à sortir. Capcom, jamais avare en réédition augmentée de ses jeux (depuis Street Fighter II notament), proposa donc une version director's cut du premier jeu pour faire patienter les joueurs. Alors qu'il n'était que réalisateur sur la première version du jeu, Mikami endosse égalément ici le rôle de producteur. Cette appellation très cinématographique arriva en Europe dans une versions non-censurée (comme la fameuse scène d'introduction) avec de nouveaux habits pour les personnages principaux et différents modes de difficulté (avec notamment un mode avancée qui procure un sacré challenge en changeant beaucoup d'objets de place, permettant une nouvelle approche pour les fans). Pour la petite histoire, le jeu comprenait aussi une démo de Resident Evil 2.

Le cœur du jeu n'a donc pas changé, surtout son histoire. Celle d'une équipe d'intervention de la police de la ville de Raccoon City (les STARS) partis enquêter sur d'étranges accidents et des attaques très violentes sur des humains. Vous incarnez un membre de l'équipe Alpha, envoyée sur place après la parte de contact avec l'équipe Bravo. A peine déposé sur un champs, votre équipe est attaquée par une meute de chien monstrueux. Une seule solution : fuir en direction d'un proche manoir pour se sauver et tenter d'élucider toute l'affaire (à noter que cette introduction est une séquence filmée avec de vrais comédiens, une scène aux faux-airs de série Z - les différents membres de l'équipe sont des clichés ambulants et les acteurs ne sont absolument pas convaincants - qui a cependant participé à la légende du jeu). Mais l'attrait du jeu est ailleurs, on le comprend dès que l'on peut enfin se déplacer dans cet étrange manoir, ses extérieurs, ses annexes et, surtout, son complexe scientifique caché.

Vous avez le choix entre incarner la frêle Jill Valentine ou le plus confiant Chris Redfield. Ce choix influe sur la difficulté des parties (Jill correspond par exemple à la partie la plus facile : elle posséde une arme à feu dès le début du jeu, a plus d'espace d'inventaire, peut crocheter les serrures, est un peu plus rapide), mais également sur les personnages rencontrés (Barry, membre de l'équipe Alpha, avec Jill, Rebecca, l’infirmière de l'équipe Bravo, avec Chris). Ainsi, même si le coeur de l'histoire reste identique, chacun des deux personnages va avoir ses rencontres et énigmes propres.

Durant vos allers-retours, vous allez croiser à de nombreuses reprises les cadavres et autres survivants de l'équipe Bravo. Le premier d'entre eux est d'ailleurs en train de se faire manger par un zombie au moment où vous arpentez votre premier couloir. Aujourd'hui encore, il s'agit assurément de l'une des scènes les plus cultes de l'industrie vidéoludique, à l'instar de celle des chiens infectés sautant à travers une fenêtre pour vous attaquer. Ces deux séquences donnent ainsi le ton du jeu, qui s'appuie beaucoup sur l'effet de surprise (les différentes créatures pouvant en effet attaquer à n'importe quel moment). Ce qui fonctionne également, c'est le sentiment de solitude pesant qui reste avec vous tout au long de l'aventure, vos alliés ne vous accompagnent que très rarement : à vous d'affronter seuls les très nombreuses créatures qui n'attendent que votre présence pour se faire un petit festin.

On prend un vrai plaisir à parcourir le manoir en long et en large aux côtés de notre héros si fragile, redoutant chaque surprise que nous réserve le jeu. Le terme de survival horror n'est donc pas employé avec exagération, car le but est véritablement de survivre dans cet enfer, les personnages cherchant avant tout à s'échapper, constamment en proie au doute face aux monstruosités qu'ils doivent affronter (surtout que les zombies et autres ennemis ne nous attaquent pas tous en même temps, et que leurs apparitions ne sont pas systématiques). On retiendra notamment les terribles hunters apparaissant dans le seconde moitié du titre, et remplaçant peu à peu les zombies dans des zones que l'on croyait avoir nettoyé.

Si on ne peut parler d'intrigue exceptionnelle, il faut néanmoins noter une certaine montée en puissance, avec de nombreuses révélations et un final haletant contre un ennemi redoutable. Le rythme du scénario est volontairement lent, les quelques indices disséminés (comme les journaux et autres témoignages des victimes du manoir) étant tous écrits.

L'ambiance est donc le point fort de ce titre, et ce même aujourd'hui. Parcourir le manoir de Resident Evil, c'est entrer dans l'histoire du jeu vidéo. Le mélange des décors pré-calculés sur lesquels se calquent les héros (comme les ennemis) en polygones 3D fait des merveilles. Le tout est sublimé par une mise en scène prenant le pari d'une caméra fixe permettant de jouer sur ce qu'on ne voit pas : entrer dans une pièce en étant filmé de face alors que l'on entend un zombie s'approcher, et sans que l'on connaisse la superficie de la pièce, est grisant et offre quelques bons moments de stress. On peut également noter l'ambition des développeurs concernant les quelques boss du jeu proposant des combats d'anthologie tout en restant assez classique dans le bestiaire horrifique.

Si cette version date de 1997, elle n'a pas à rougir d'être présentée sur une grande TV HD. Certes les graphismes ont bien vieilli, mais cela reste beau dans un style glauque et inquiétant. Les développeurs ont eu un vrai sens du détail pour renforcer l'ambiance oppressante du titre. Le jeu a été une vraie claque graphique à l'époque, et on comprend encore pourquoi tout en se félicitant de la version non censurée disponible sur le PSN. Éclater les têtes des zombies dans une gerbe de sang s'avère assez jouissif !

Concernant l'ambiance sonore du titre, si on oubli les voix anglaises nanardesques, on en prend plein les oreilles : bruits de pas résonnant dans le vide, grincements des portes, sons caractéristiques de nos ennemis. Parcourir le jardin de nuit avec en arrière-fond sonore le hurlement à la mort des chiens infectés vaut le détour, surtout si on joue dans le noir avec un casque. On retiendra également la sublime musique, qui n'est pas là en permanence mais réussit toujours à être importante grâce à des thèmes très bien écrits (comme celui presque poétique des salles de sauvegarde).

Mais ce qui a le plus vieilli, c'est bel et bien la maniabilité légendaire des premiers épisodes de la série. Jouer avec la croix de la manette PS3 demande un petit temps d'adaptation et esquiver les ennemis en courant ne se fait pas vraiment facilement. Ainsi, on pourra pester par moments face à une jouabilité dont on a clairement pas l'habitude, mais qui fait totalement parti du charme de l'aventure (comme le fait de ne pouvoir tirer et se déplacer en même temps). A vous d'avoir la distance adéquate avec votre ennemi, qui s'avancera toujours impitoyablement.

Le jeu se base aussi beaucoup sur des énigmes dont la logique est surtout propre au jeu vidéo, puisqu'elles permettent de bien traverser le jeu mais ne tiennent pas souvent debout d'un point de vue purement logique. Qu'importe, puisque l'on prend du plaisir à découvrir toutes les pièces du manoir. Néanmoins, l'inventaire limité, le manque de munitions et le fait de ne pas pouvoir sauvegarder quand on le souhaite (il faut avoir de l'encre pour les quelques machines à écrire disséminés dans le jeu) font grimper la difficulté, donc par la même occasion le stress du jeu. Les allers-retours sont ainsi assez nombreux, et on se retrouve souvent bloqués, devant repartir pour explorer une nouvelle partie du manoir pour finalement revenir au point de départ avec le bon objet (une exploration pouvant être assez chaotique, donc à même de perturber les habitudes des joueurs de 2013).

Mais cela offre aussi une vraie force au titre. Une grande liberté donnée au joueur qui peut choisir de tout découvrir ou simplement de fuir le plus rapidement possible. On découvre le jeu en passant à côté de plein de choses, puis on peut le refaire en ayant la meilleure des deux fins disponible par personnage. De même, on peut relancer le jeu en se donnant des défis (comme le terminer le plus vite ou ne pas récupérer telle ou telle arme). La liberté offerte permet vraiment de pouvoir apporter de nouvelles ambitions à chaque partie. C'est aussi ça qui fait la force de Resident Evil. La version Director's Cut permet aux moins habitués de s'y frotter avec le mode entraînement qui est simple d'accès. De même, les fans et les hardcore gamers pourront se frotter au nouveau mode "advanced" assez cauchemardesque, puisque beaucoup d'objets auront changé de place et que des créatures plus coriaces seront de la partie. Cette version est donc parfaite pour ceux voulant s'initier à la saga. Enfin, pour ce qui est de la durée de vie, la première partie pour ceux découvrant le titre tourne autour d'une petite dizaine d'heures heures ce qui est largement correct. Dommage que la version téléchargeable soit seulement en anglais...

La conclusion de à propos du Jeu Vidéo : Resident Evil : Director's Cut #1 [1997]

Auteur Bastien L.
85

Les grand jeux ne meurent jamais ! Resident Evil dans sa version Director's Cut est une vraie perle à 10 euros que tous les passionnés de jeu vidéo se doivent d'essayer. Alors oui, le jeu à vieilli surtout en ce qui concerne son gameplay (qui ne faisait déjà pas forcément l'unanimité à la sortie du jeu), mais au niveau des graphismes, de la mise en scène, de l'ambiance, on en prend toujours plein la tronche. Cette naissance du survival horror nous permet d’arpenter avec un grand plaisir un lieu que l'on fera tout pour fuir...

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