Critique Les Anneaux de Pouvoir [2022]
Avis critique rédigé par Bastien L. le mercredi 2 octobre 2024 à 09h00
Saison 1 : Une magnifique coquille un peu vide
Alors que la saison 2 achève sa diffusion, retour sur le première saison des Anneaux de Pouvoir.
Les Anneaux de Pouvoir fut clairement une des séries les plus attendues de l'histoire de la fantasy à la télévision avec une première saison qui n'arrive malheureusement pas à convaincre pleinement malgré d'indéniables qualités.
Il n'aura échappé à personne que Les Anneaux de Pouvoir adapte les écrits de J.R.R. Tolkien qui avaient connus leurs lettres de noblesse cinématographique au début des années 2000 grâce à la trilogie du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson. Et derrière cette série il y a aussi des histoires de gros sous à commencer par l'achat des droits d'adaptation du Seigneur des Anneaux (comme de ses appendices) par l’ogre Amazon auprès des ayant droits de Tolkien en 2017. Pour ensuite créer une série TV sur sa plate-forme de streaming Amazon Prime qui devrait durer 5 saisons et coûter environ 1 milliard de dollars en tout afin d'en faire la série la plus chère de l'histoire. Entre 2017 et la fin de l'été 2022 (date de diffusion de cette première saison), Amazon va d'abord choisir d'adapter les appendices (ou annexes) du Seigneur des Anneaux en racontant la première guerre contre Sauron narrée dans l'introduction de La Communauté de l'Anneau. Le géant américain s'est par ailleurs un temps approché de Peter Jackson qui décide finalement de passer la main quand bien même on sent grandement son empreinte de la série (des compositions d'Howard Shore, un tournage en Nouvelle-Zélande ou Weta participant à la production...). Une sorte d'appel d'idées fut lancé et le duo de scénaristes J.D. Payne et Patrick McKay remporta la timbale pour devenir showrunners. Une décision surprenante car les deux Américains ne sont alors seulement connus que pour leur apport, non crédité, à Star Trek Sans Limites mais disposant du parrainage de J.J. Abrams… Ils sont évidemment accompagnés d'une équipe plus expérimentée notamment Justin Doble (Stranger Things...) à l'écriture et de Juan Antonio Bayona (Jurassic World : Fallen Kingdom...) pour réaliser les deux premiers épisodes. Il est ensuite remplacé par deux réalisateurs spécialisés dans les séries, Wayne Yip et Charlotte Brandström, pour les 6 épisodes suivants.
La série se déroule donc des milliers d'années avant les événements du Seigneur des Anneaux alors que La Terre du Milieu se remet de la guerre contre la maléfique Morgoth, vaincu. Malheureusement, un de ses plus fidèles lieutenant, Sauron, semble toujours courir. L'elfe Galadriel (Morfydd Clark) le pourchasse jusqu'aux confins du monde avant d'être désavouée par ses soldats et mise de côté par le roi Gil-Galad (Benjamin Walker) lui offrant l'honneur de rentrer en Valinor, terre d'origine des elfes. En parallèle, Gil-Galad met le demi-elfe Elrond (Robert Aramayo) au service de l'inventeur/forgeron Celebrimbor (Charles Edwards) qui va le pousser à chercher alliance avec son ancien allié nain, le prince Durin IV (Owain Arthur) mais il va se confronter à un peuple se repliant sur lui-même sans qu'il n'en comprenne la cause. En parallèle, on suit la mission de l'efle Arondir (Ismael Cruz Córdova) faisant parti d'une garnison surveillant les humains des Terres du Sud et qui s'apprête elle aussi à rentrer à Valinor. Néanmoins, Arondir s'est épris de l'humaine Bronwyn (Nazanin Boniadi) qui fait bientôt face à d'étrangers événements menaçant son village tandis que son fils Theo (Tyroe Muhafidin) découvre un étrange artefact qui va être convoité par des Orcs qui font irruption dans la région menés par un étrange commandant (Joseph Mawle). Loin de là, on suit aussi la survie difficile d'une communauté de Hobbits dont la jeune intrépide Nori (Markella Kavenagh) qui va recueillir, en secret, un étrange être à forme humaine (Daniel Weyman) littéralement tombé du ciel. Bien que frappé d'amnésie, il semble détenir de grands pouvoirs magiques. Alors qu'elle fait route vers Valinor, Galadriel décide de sauter de son navire pour repartir à la nage vers la Terre du Milieu puis rencontre un radeau de rescapés dont l'humain Halbrand (Charlie Vickers) qui prétend être l'héritier royal des terres du sud. Ils sont ensuite sauvés par le capitaine Elendil (Lloyd Owen) qui les amène sur l'île de Nùmenor. Sur place, Galadriel découvre un somptueux royaume humain qui pratique une politique isolationniste ne souhaitant plus se mêler des affaires de la Terre du Milieu sous la régence de la reine Miriel (Cynthia Addai-Robinson). De son côté, Elendil doit gérer les errements de jeunesse de son fils Isildur (Maxim Baldry) ayant du mal à tenir en place.
Autant le dire tout de suite, le pari de confier les rênes d'une telle série à des inconnus n'est pas franchement réussi. Certes, la série s'inspire des films de Peter Jackson mais aussi de la série Le Trône de Fer qui a récemment redéfini la fantasy sur le petit écran. On a donc le droit à une intrigue éclatée entre une multitude de personnages et de lieux au nombre de quatre globalement : Galadriel et Halbrand à Nùmenor ; Nori et la migration des Hobbits ; les allers-retours de Elrond entre Durin et Gil-Galad ainsi que l'attaque des Terres du Sud. Mais on a clairement pas le droit au talent de la série adaptée des œuvres de George R. R. Martin car l'écriture est souvent d'une platitude et d'une paresse assez impressionnante. Vous ne risquez pas vraiment d'être paumés devant la profusion de personnages tant de nombreuses scènes répètent les différents enjeux et qu'on a constamment l'impression que sur les cinq premiers épisodes, la série tente de gagner du temps. Notamment en créant de faux suspenses sur la destinée de personnages (notamment l'épisode 5 autour de Halbrand et d'Isildur) ou encore des personnages qui changent d'avis assez artificiellement entre deux scènes... Le personnage de Theo nous offre par exemple plusieurs scènes qui ressemblent à des copier-coller dans les premiers épisodes. Pire, on souffle devant des scènes assez ridicules sur les rancœurs de Durin envers Elrond (ép. 2) ou la rencontre des plus improbables entre Galadriel et Halbrand en plein milieu de l'océan (ép. 2). On peut aussi regretter un réel manque de subtilité par moments notamment tout le premier épisode étant là pour nous faire comprendre que Galadriel est l'héroïne et que c'est elle qui a raison avec le sentiment qu'on surligne tout ça avec des marqueurs fluo.... Bref, entre des enjeux rabâchés et cette impression constante de gagner du temps, le spectateur sent souvent son intelligence un peu insultée...
Heureusement que les trois derniers épisodes s'avèrent bien plus satisfaisants notamment le dantesque épisode 6 où la série lâche enfin les chevaux (dans tous les sens du terme) avec de grosses conséquences pour la suite. Les deux derniers épisodes s'en sortent ainsi mieux malgré cette constante envie de créer de faux suspenses. La série souhaite s'adresser aux fans (des livres comme des films avec de nombreuses références plus ou moins subtiles) qui savent très bien qui est Isildur ou ce que va forger Celebrimbor (ép. 8) même si on peut comprendre que cela s'adresse aussi aux néophytes. J.D. Payne et Patrick McKay n'ont donc pas réussi à convaincre tous les publics. La première saison tente aussi de nous parler d'écologie et d'exploitation de ressources en opposant les êtres humains aux Orcs qui détruisent les terres ou encore les nains et leurs découvertes au plus profond des montagnes qui peuvent être convoitées par les elfes. Encore une fois, tout n'est pas très subtile comme de nombreux passages sur la confiance qui est au cœur de la relation entre différents personnages : entre un parent et son enfant, entre une reine et son peuple, entre deux inconnus ou encore entre un maître et ses serviteurs... Confiance qui est la base des alliances qui vont devoir se forger devant le mal qui approche. La série veut aussi faire souffler un petit vent d'émancipation à travers de nombreux enfants qui vont devoir grandir bien plus vite que prévu afin de se démarquer de leur famille. On retrouve aussi les thématiques propre aux œuvres de J.R.R. Tolkien comme la lutte contre le mal, le bonheur du quotidien s'accompagnant des pièges du confort comme le sentiment de devoir souvent ébranlé des elfes face aux peuples de la Terre du Milieu... Ce qu'on peut en revanche trouver de nouveau c'est le ton un peu plus mature de la série qui n'hésite pas à se montrer plus brutale et sanglante lors des scènes d'action par rapport aux films ou même aux livres.
La critique est pour l'instant assez négative alors que la série reste globalement satisfaisante. Tout simplement parce qu'elle est d'un point de vue artistique absolument sublime. Les Anneaux de Pouvoir font un peu l'impression par moments d'une coquille vide mais d'une coquille magnifiquement ouvragée à tous les niveaux. On sent vraiment que les moyens de production ont été conséquents permettant de se plonger avec délice dans cette Terre du Milieu faisant souffler un grand souffle de fantasy sur nos écrans. On ressent une nouvelle fois l'influence des films de Peter Jackson avec une réelle continuité artistique, on retrouve par ailleurs le même John Howe à la direction artistique. La découverte de chaque lieu est un réel bonheur pour nos rétines avec un grand souci du détail que cela soit la magnifique cité de Nùmenor, les profondeurs de Khazad-dûm, la tour de Celebrimbor, le charme champêtre des Terres du Sud ou les grands espaces traversés par les Hobbits... Le plaisir de se vautrer dans un univers déjà connu mais avec assez de nouveautés pour nous tenir éveillés. Et c'est très sincèrement ce qui sauve cette première saison dans son ensemble car Amazon s'est vraiment donné les moyens d'une production haut-de-gamme et cela se voit non seulement dans la qualité artistique de l'ensemble mais aussi dans la profusion des décors qui respirent de vie ou lors de l'épisode 6 proposant des affrontements importants. A ce niveau, Les Anneaux de Pouvoir n'a pas à rougir de la comparaison avec les films comme avec la plus récente série Le Trône de Fer. La série réussit donc à être un spectacle visuel de tous les instants.
Pour ce qui est de sa réalisation, Juan Antonio Bayona, Wayne Yip et Charlotte Brandström ont clairement voulu donner une saveur blockbuster à la série et cela fonctionne. N'y attendez pas de l'innovent ou des personnalités tranchées à travers la réalisation mais de la mise en scène très efficace, très léchée qui met parfaitement en valeur la qualité de la production comme des effets spéciaux notamment ceux en images de synthèse qui nous offrent un beau combat à base de magie dans le dernier épisode. Encore une fois, on ressent l'influence de Peter Jackson notamment lorsque les personnages sont perdus dans de vastes panoramas ou sur la manière de filmer les Orcs avec enchaînement de gros plans... Les trois réalisateurs de la série sont ici plus des faiseurs que des auteurs mais ils offrent un travail de haute qualité qui participe à la qualité de l'ensemble. Encore une fois on peut mettre en avant cette violence plus brutale et graphique qui fonctionne plutôt bien. Le casting repose évidemment en premier lieu sur Morfydd Clark (Saint Maud, Dracula...) qui incarne plutôt bien une Galadriel implacable et résignée jusqu'à l’entêtement sachant aussi bien rompre son armure par moments. Elle est aussi très crédible dans un rôle assez physique. A ses côtés on retrouve Robert Aramayo (Le trône de fer, The King's Man : Première Mission...) en Elrond qu'il rend attachant avec sa sympathie clairement affichée et son sens sacré de l'amitié. Pour rester dans le camp des elfes, on peut mettre en avant Ismael Cruz Cordova (Ray Donovan, Berlin Station...) très crédible en guerrier elfe qui interprète bien le trouble de son amour pour une mortelle. Chez les humains on peut constater le sex-appeal de Charlie Vickers (Les Médicis : Maître de Florence, Palm Beach...) dont il se sert bien pour ajouter au mystère qui entoure Halbrand à la destinée contrariée. On peut aussi citer Lloyd Owen en Elendil ou Cynthia Addai-Robinson en reine Mirièl. Enfin, la dynamique entre Markella Kavenagh (Nori) et Daniel Weyman (l'étranger) fonctionne bien du côté des Hobbits. Le reste du casting donne plutôt satisfaction sans pour autant se distinguer complètement. A leur décharge, il ne travaille pas toujours avec les meilleurs scénarios...
La conclusion de Bastien L. à propos de la Série Télé : Les Anneaux de Pouvoir [2022]
Cette première saison des Anneaux de Pouvoir est avant-tout un plaisir visuel assez incomparable dans l'histoire de la télévision. Une qualité de production rarement atteinte qui nous offre un spectacle de fantasy souvent à couper le souffle dans la grande lignée des blockbusters cinématographiques actuels. Malheureusement, la série n'arrive jamais à être plus que ça à cause d'un manque de prise de risque, d'un fan service pas toujours bien maîtrisé et surtout de gros problèmes d'écriture lors des cinq premiers épisodes avant un final plus satisfaisant. Le casting reste intéressant mais ne semble pas vraiment montrer tout son potentiel.
On a aimé
- La direction artistique
- La qualité visuelle incroyable
- Une production comme une réalisation dignes des plus gros blockbusters
On a moins bien aimé
- Un scénario qui prend beaucoup trop de temps
- Les faux suspenses permanents
- Les 5 premiers épisodes en dessous des 3 derniers
Acheter la Série Télé Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir [2022] en un clic
Nous vous proposons de comparer les prix et les versions de Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir [2022] sur Amazon, site de vente en ligne dans lequel vous pouvez avoir confiance.
Retrouvez les annonces de nos dernières critiques sur les réseaux sociaux
Critiques liées
-
Le Seigneur des Anneaux : Les Lais du Beleriand [2006]
par Bastien L. | Lecture : 4 mn 48
Une Terre du Milieu en travaux : Il est quand même difficile de recommander Les Lais du Belerian à d'autres personnes qu'aux fans de Tolkien qui connaissent déjà b…
-
Le Seigneur des Anneaux : Les Enfants de Hùrin [2008]
par Bastien L. | Lecture : 5 mn 39
Quand y en marre, y a Turambar ! : Les Enfants du Húrin est une plongée difficile dans l'univers de J.R.R. Tolkien comme une sorte de diamant brut mal dégrossi dont …
-
Le Seigneur des Anneaux : Bilbo le Hobbit : Le Hobbit : La désolation de Smaug #2 [2013]
par Bastien L. | Lecture : 11 mn 46
Smaug on the Water : La Désolation de Smaug est un grand spectacle familial dont la version longue permet d'allonger le plaisir sans rajouts inutiles. …
-
Le Seigneur des Anneaux : La Guerre du Nord [2011]
par Bastien L. | Lecture : 8 mn 10
Bienvenue chez les Ch'tis. : Cette Guerre du Nord est un titre tout juste correct qui saura contenter les fans du Seigneur des Anneaux sans éblouir les amateur…
-
Le Seigneur des Anneaux : L'Âge des conquêtes [2009]
par Bastien L. | Lecture : 7 mn 60
Lord of the Rings Battlefront : Si L'Âge des Conquêtes ne comporte plus vraiment d'intérêt aujourd'hui, ce n'est pas seulement parce que la partie multijoueur n'e…
-
Le Seigneur des Anneaux : Le Tiers Age [2004]
par Bastien L. | Lecture : 8 mn 52
The Final Lord of The Rings Fantasy X : Le Tiers Âge est vraiment à prendre comme une adaptation de la saga de Peter Jackson. Les fans pourront y trouver leur compte entr…
-
La trilogie du Seigneur des Anneaux : Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi [#3 - 2003]
par Bastien L. | Lecture : 8 mn 10
La consécration du Roi : Le Retour du Roi couronne sans rougir la licence et s'avère être une excellente adaptation d'un film en jeu vidéo et n'est pas une…
-
le Seigneur des Anneaux : La trilogie du Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours [#2 - 2002]
par Bastien L. | Lecture : 7 mn 44
You have my gamepad : Les Deux Tours est vraiment un produit dérivé des plus réussis. Il en réunit toutes les qualités. Il permet aux fans de prolonger …
-
le Seigneur des Anneaux : La trilogie du Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau [#1 - 2002]
par Bastien L. | Lecture : 7 mn 11
Le Seigneur des Anneaux, l'autre adaptation... : Malgré le potentiel d'une telle licence, cette Communauté de l'Anneau est plutôt faiblarde. Si la fidélité à l'œuvre de Tolkien fa…
-
le Seigneur des Anneaux : Bilbo le Hobbit : Le Hobbit : La Bataille des Cinq Armées [#3 - 2014]
par David Q. | Lecture : 5 mn 32
Une trilogie qui aurait dû se faire en 2 films : Le Hobbit 3 est un film à ne pas rater au cinéma car il vous en mettra plein la vue et les oreilles et qu'il clôture une trilogie …
-
le Seigneur des Anneaux : Le Hobbit le jeu de cartes [2012]
par Amaury L. | Lecture : 4 mn 19
Le pli du milieu... : Le Hobbit le jeu de cartes ne renverse pas des montagnes et s'il s'avère plaisant à pratiquer (surtout à quatre ou cinq), il n'éga…
-
Débilbo le hoplite
par Nicolas L. | Lecture : 3 mn 23
Petit comme un gland, fort comme un chêne ! : Œuvre opportuniste, Débilbo le hoplite n’en est pas pour autant un album sans intérêt. En fait, sa principale faiblesse est de pro…
-
Le Hobbit : Un voyage inattendu
par Richard B. | Lecture : 10 mn 7
La menace fantôme. : Si Le Hobbit, un voyage inattendu, tarde à démarrer et communiquer son potentiel émotionnel, le plaisir de retrouver la Terre du M…
-
Bilbo le hobbit : un voyage inattendu
par Amaury L. | Lecture : 4 mn 46
Un chemin tout tracé... : Le Hobbit un voyage inattendu ne bouscule pas les vieilles traditions initiées par les jeux de parcours (lancer de dés, pioche de …
-
Le seigneur des anneaux, le jeu de cartes
par Nicolas L. | Lecture : 12 mn 17
Une carte pour les dominer tous : Un jeu de carte coopératif, c'est suffisamment rare pour éveiller l'intérêt du joueur avide de découvertes. Mais Le Seigneur des A…
-
Le Seigneur des Anneaux : La Quête d'Aragorn
par Bastien L. | Lecture : 6 mn 40
Le mauvais retour du roi : La Quête d'Aragorn est tout simplement un jeu indigne de la PS3. Certes, tous les jeux n'ont pas les mêmes moyens pour afficher de…
-
Bilbo le Hobbit
par Bastien L. | Lecture : 3 mn 54
Le Seigneur des comics : Bilbo le Hobbit est donc une œuvre à (re)découvrir sous sa forme de roman-graphique prouvant qu’on peut proposer une adaptation ex…
-
La Quête des Terres du Milieu
par Nicolas L. | Lecture : 8 mn 29
Quand Sauron prend les affaires en main : La quête des Terres du Milieu est un gros jeu pour hardcore gamers, dans la pure tradition FFG. Le matériel est superbe, la règle …
-
Le Seigneur des Anneaux : L'âge des conquêtes
par Sylvain T. | Lecture : 4 mn 15
Une conquête poussive : L’ambiance est là, c’est un fait, on s’amuse même à de nombreuses reprises, mais le gameplay pêche bien trop pour trouver du plais…
-
Le Seigneur des Anneaux Online : Les Ombres d'Angmar
par Nicolas L. | Lecture : 9 mn 21
Premiers regards sur les Terres du Milieu : Viens le moment de la conclusion. Comme je le disais plus haut, pour le moment, Lotro ne me satisfait pas. Bien qu’il soit très ag…
-
Le Seigneur des Anneaux: le duel
par Nicolas L. | Lecture : 4 mn 35
Vous ne passerez pas!! : En guise de conclusion, je dirais qu’au niveau de la mécanique, le bilan est positif. Un système simple et grand public pour des a…
-
Le Seigneur des Anneaux
par Nicolas L. | Lecture : 6 mn 5
Hobbits vadrouilleurs : Les romans ont leurs best-sellers, les films leurs blockbusters, et les jeux ont leur hits. Le Seigneur des Anneaux fait partie de…
-
Le retour du roi
par Manu B. | Lecture : 1 mn 20
Le retour du roi : Fin de la trilogie. C'est le point final du seigneur des anneaux où l'apocalypse menace la Terre des Milieux. Les peuples unis d'h…
-
Les deux tours
par Manu B. | Lecture : 1 mn 33
Les deux tours : Deux volet de la mythique trilogie, on découvre toute l'ampleur du monde de J.R.R. Tolkien, à savoir les entités imaginaires telle…
-
Le Retour du Roi
par Manu B. | Lecture : 2 mn 5
Le retour du roi : C'est clairement celui que j'ai le moins aimé. Plus long, le rythme est un peu trop faiblarde, même si Peter Jackson a fait du trè…
-
Le Seigneur des Anneaux Tactics
par David Q. | Lecture : 3 mn 29
Une adaptation qui s'essoufle : Certes les vidéos sont jolies et la musique toujours aussi envoûtante mais la magie semble s'épuiser avec ce titre dont la force e…
-
la Communauté de l'Anneau
par Manu B. | Lecture : 3 mn 7
Après Bilbo, Frodon le hobbit : La saga du Seigneur des anneaux est LA référence dans le monde de la fantasy. Malgré les nombreuses et malheureuses oeuvres s'insp…
-
Lord of the Strings
par Nicolas L. | Lecture : 4 mn 36
Le seigneur a perdu son slip : Voilà, je ne vous en dis pas plus, car Lord of the G-Strings ne se raconte pas, il se vit. Plus ou moins bien, il est vrai. Les gr…
-
Les Deux Tours
par Manu B. | Lecture : 2 mn 30
Les Deux Tours : L'élément qui m'a le plus marqué est la bataille du gouffre d'Helm, magnifique, prenante, héroïque.
-
La Communauté de l'Anneau - OST
par Manu B. | Lecture : 2 mn 12
Magnifique ! : La bande originale ne fait pas tout dans un film, mais par contre elle ajoute la petite étincelle qui fait d'un très bon film un c…