Critique Madame Web [2024]

Avis critique rédigé par Bastien L. le mercredi 21 février 2024 à 09h00

Madame Web et le grand méchant loup

Depuis environ un an, les films de super-héros semblent marquer un véritable ralentissement au box-office mondial accompagné de faibles retours critiques. Une situation que Madame Web ne va pas améliorer...

Depuis que Spider-Man a rejoint le Marvel Cinematic Universe, Sony (toujours propriétaire des droits d'exploitation au cinéma de la licence) ne lâche pas le Tisseur que ce soit via des adaptations animées (le récent Spider-Man : Across the Spider-Verse) mais aussi son Sony Spider-Man Universe (SSU). Ce dernier met en avant des personnages secondaires de la licence, d'abord des ennemis comme les deux Venom et Morbius mais aussi ses alliés comme Madame Web. Ce personnage est né dans les comics en 1980 sous les plumes de Denny O'Neil et John Romita Jr. et bénéficie de pouvoirs psychiques dont le don de voyance étant un allié pour Spider-Man dans de nombreuses aventures. Elle est donc choisie pour être le rôle-titre du quatrième film du SSU avec un projet lancé en 2019. Il est d'abord confié au duo de scénaristes Matt Sazama & Burk Sharpless déjà derrière le très moyen Morbius. L'année suivante, la britannique S.J. Clarkson se voit confier la réalisation du film marquant pour elle ses débuts au cinéma après une prolifique carrière à la télévision depuis près de 20. On la retrouve sur des séries telles que Life on Mars, Heroes, Dexter mais surtout sur des super-héros comme Jessica Jones et The Defenders. Elle reprend le script à l'aide de Claire Parker et son passé à la télévision peut être une des explications de l'échec du film, on y reviendra. Un script qui inclut par ailleurs le personnage de Ezekiel Sims (apparu dans la comics en 2001 et créé par J. Michael Straczynski et Romita Jr) en tant qu'antagoniste principal alors que le personnage est plus ambivalent sur papier. Le film produit par l'expérimenté Lorenzo di Bonaventura (les sagas Transformers ou G.I.Joe) est tourné aux Etats-Unis durant l'année 2022 principalement se reposant sur l'actrice Dakota Johnson dans le rôle-titre pour une sortie mondiale décalée en février 2024. Pour un résultat très décevant d'un point de vue critique mais aussi public car on ne sait pas si le film réussira à égaler sa mise de 80 à 100 millions de dollars (selon les sources) au box-office...

Le film commence dans les années 1970 au Pérou, dans l'Amazonie, alors que l'on suit la scientifique Constance Webb (Kerry Bishé) à la recherche d'une légendaire araignée ayant des pouvoirs curatifs importants. Malheureusement, elle se fait trahir par son prétendu protecteur Ezekiel Sims (Tahar Rahim) qui lui tire dessus et s'enfuit avec l'araignée. Constance, alors enceinte presque à terme, est récupérée par un peuple aux pouvoirs arachnéens qui ne peuvent la sauver mais qui réussissent à faire en sorte que sa fille naisse tout en lui promettant un grand avenir. 30 ans plus tard à New-York, on retrouve Cassie Webb (Dakota Johnson) devenue une ambulancière intrépide mais un peu à la marge socialement. Lors d'une intervention avec son partenaire Ben (Adam Scott), elle tombe dans l'eau et manque de se noyer. Cet incident déclenche en elle le pouvoir d'avoir des flashs du futur dont son manque de compréhension la rend impuissante face à la mort d'un de ses collègues. En parallèle, Ezekiel Sims vit toujours étant devenu richissime et ayant développé une force surhumaine mais il est assailli du même cauchemar chaque nuit : il est attaqué et tué par trois Spider-Women. Il réussit à mettre la main sur le réseau de surveillance de la NSA lui permettant de découvrir leur identité et souhaite les éliminer. C'est dans une gare que Cassie va avoir des visions de l'assassinant de Julia (Sydney Sweeney), Anya (Isabelle Merced) et Mattie (Celeste O'Connor) qu'elle va tenter de sauver. Le problème étant qu'elle ne comprend toujours pas ce qui lui arrive, qu'elle va avoir du mal à gagner la confiance des trois adolescentes et que son ennemi est des plus implacables...

Le principal problème du film est qu'on a constamment l'impression qu'il y a tromperie sur la marchandise. Cela peut déjà venir de bande-annonce qui est au mieux une fausse piste intentionnelle ou au pire du marketing mensonger. Elle insiste beaucoup trop sur l'action et le côté super-héros du métrage contredisant un peu les intentions de ceux ayant travaillé dessus qui annonçaient plus un thriller riche en suspense avec un aspect super-héros certes. Mais que l'on s'attende à un film d'action ou un thriller, cela ne fonctionne pas à cause d'un réel manque de rythme. On a l'impression qu'il ne se passe pas grand chose pendant la moitié du film et que les dons de voyance de Cassie sont mal utilisés annulant souvent le peu de suspense mis en place. L'autre problème est aussi le futur des trois adolescentes en Spider-Women que l'on aperçoit dans la bande-annonce mais aussi dans les rêves de Ezekiel et qui ne sont pas vraiment utilisées. C'est parce que Sony met en place ses pions pour d'éventuelles suites (qui ont honnêtement peu de chance d'exister à ce jour) mais de manière tellement grossière qu'on a l'impression de regarder une bande-annonce de près de deux heures. D'où un réel sentiment de frustration qui s'installe au fur et à mesure que le film avance.

C'est pour ça que je parlais plus haut de l'origine de réalisatrice pour les séries TV de S.J. Clarkson qui semble bien en maîtriser les arcanes tant on a l’impression qu'elle nous livre ici le premier épisode d'une série et non un film pensé comme étant unique. Ça et les clins d’œil plus ou moins subtils l'univers de Spider-Man font que le métrage a vraiment du mal à exister par lui-même alors qu'il n'est pas une suite. On assiste donc à une énième origin story mais qui met beaucoup trop de temps pour donner à Cassie une réelle maîtrise de ses pouvoirs se concentrant sur la fuite en avant qu'elle et ses protégées subissent jusqu'à un certain point malheureusement. Il y a trop de pauses, trop de discussions pour que le suspense et le côté thriller prennent. Des pauses servant à caractériser les personnages se faisant donc beaucoup trop par le dialogue empêchant le film d'atteindre ses objectifs en terme d'intensité et d'émotions. En effet, on a toutes les peines du monde à être embarqué, à avoir peur pour ses protagonistes, à être inquiet devant le méchant, à rire quand le film tente de l'humour ou à être ému quand il joue sur cette corde... Le côté fantastique et super-héroïque met trop de temps à se montrer et on ne va pas se mentir, Madame Web n'est clairement pas l'héroïne la plus charismatique qui soit aussi parce que son réel potentiel semble avoir été gardé pour une suite... Pourtant le film réussit quand même à rester regardable car il s'avère plus plat et sans saveur que réellement désagréable ou désolant. Il dispose aussi d'une bonne qualité de production à de nombreux niveaux dont les effets spéciaux. Mais c'était la moindre des choses pour un film produit par Sony.

Pour ce qui est de la mise en scène, le choix de S.J. Clarkson ne s'est pas avéré payant. On sent en effet qu'elle n'est pas rompu à diriger une telle production et propose souvent des choix de mise en scène faussement ambitieux mais difficilement compréhensibles. Le peu de scène d'action sont au mieux correctes et au pire ratées avec trop de hors-champ ou un montage bien trop nerveux pour pas grand chose. Comme un cache misère en sorte. De plus, elle n'a pas réussi à gérer correctement le rythme de son film comme rendre impactant les pouvoirs de son héroïne. Ses pouvoirs de voyance façon petits sauts temporels/rembobinage s'avèrent sans imagination donc très oubliables. Devant ses caméras, ses acteurs font ce qu'ils peuvent même si l'ensemble du casting s'avère correct en faisant ce qu'il peut avec ce scénario. Dakota Johnson (Cinquante nuances de Grey, Suspiria...) est assez charismatique et rend bien compte de l'évolution psychologique de son personnage. Face à elle Tahar Rahim (Un prophète, Samba...) manque quant à lui de charisme avec un jeu trop intériorisé ou alors il a eu plus de mal à jouer avec une autre langue que le français car il est loin de son talent habituel. Le trio Sydney Sweeney (Julia), Isabela Merced (Anya) et Celeste O'Connor (Mattie) est assez convainquant notamment dans l'alchimie progressif qui se tisse entre eux. On pourra aussi noter les présences de Adam Scott et Emma Roberts dans des seconds rôles en forme de beau clin d’œil.

On vous le conseille si vous aimez Spider-Man, Birds of Prey, Elektra...

La conclusion de à propos du Film : Madame Web [2024]

Auteur Bastien L.
38

Madame Web est une réelle déception d'abord parce que le film n'arrive jamais à convaincre en tant qu’œuvre capable d'exister par elle-même. A trop hésiter entre film de super-héros et thriller à suspense comme à trop vouloir vendre des suites, le métrage nous frustre et nous indiffère au final. Rajouter à cela un manque de rythme, une mise en scène peu inspirée et une platitude générale et vous aurez peut-être un des pires films de super-héros depuis longtemps... L'impression d'être devant un téléfilm de luxe ou un pilote de série TV plus qu'un blockbuster Spider-Man...

On a aimé

  • La qualité de la production
  • Dakota Johnson et le trio d'adolescentes
  • Les effets spéciaux

On a moins bien aimé

  • Le manque de rythme constant
  • Une mise en scène assez pauvre
  • Un film qui prépare beaucoup trop d'éventuelles suites

Acheter le Film Spider-Man : Madame Web [2024] en un clic

Nous vous proposons de comparer les prix et les versions de Spider-Man : Madame Web [2024] sur Amazon, site de vente en ligne dans lequel vous pouvez avoir confiance.

Retrouvez les annonces de nos dernières critiques sur les réseaux sociaux

Sur Facebook | Sur Twitter

Critiques liées

  • Voir la critique de Spider-Man : Venom : The Last Dance #3 [2024]
    45

    Spider-Man : Venom : The Last Dance #3 [2024]

    par Bastien L. | Lecture : 8 mn 11

    Avant l'ombre et le silence : Venom : The Last Dance est le chapitre le plus faible d'une trilogie initiée en 2018. Un film qui ne réussit jamais à trouver…

  • Voir la critique de Spider-Man : Morbius [2022]
    50

    Spider-Man : Morbius [2022]

    par Bastien L. | Lecture : 9 mn 3

    The Batman : Morbius n'est qu'un film de super-héros de plus parmi tous ceux qui sortent actuellement. Un divertissement calibré voulant nous o…

  • Voir la critique de Spider-Man : Venom : Let There Be Carnage #2 [2021]
    57

    Spider-Man : Venom : Let There Be Carnage #2 [2021]

    par Bastien L. | Lecture : 7 mn 58

    Tueur né : Venom : Let There Be Carnage est une suite assez moyenne ne réussissant pas à se justifier en restant trop proche du premier …

  • Voir la critique de Spider-Man :L'Intégrale 1970 #8 [2005]
    74

    Spider-Man :L'Intégrale 1970 #8 [2005]

    par Bastien L. | Lecture : 5 mn 33

    Le changement dans la continuité pour le Tisseur : L'année 1970 de Spider-Man est de qualité mais reste néanmoins inférieure à ce que toute la série nous avait proposé depuis ses dé…

  • Voir la critique de Spider-Man : l'intégrale 1969 #7 [2004]
    81

    Spider-Man : l'intégrale 1969 #7 [2004]

    par Bastien L. | Lecture : 5 mn 11

    69, année acrobatique : L'année 1969 de Spider-Man fut intéressante à plus d'un titre redressant ainsi la situation sans pour autant atteindre l'excellenc…

  • Voir la critique de Spider-Man : L'Intégrale 1968 #6 [2004]
    78

    Spider-Man : L'Intégrale 1968 #6 [2004]

    par Bastien L. | Lecture : 4 mn 6

    Pas de révolution pour 1968 : Si cette année 1968 est synonyme d'une baisse de qualité pour Spider-Man c'est d'abord parce que l'année 1967 était grandiose mais…

  • Voir la critique de Spider-Man : L'Intégrale 1967 #5 [2003]
    88

    Spider-Man : L'Intégrale 1967 #5 [2003]

    par Bastien L. | Lecture : 4 mn 16

    Une année grandiose : 1967 est une grande année pour le Tisseur. S'il n'y a pas de véritable révolution, les histoires présentées dans cet Intégrale son…

  • Voir la critique de Spider-Man : L'Intégrale 1966 #4 [2003]
    88

    Spider-Man : L'Intégrale 1966 #4 [2003]

    par Bastien L. | Lecture : 5 mn 21

    Ditko out, Romita in : Si l'année 1966 fut riche à plus d'un titre pour Spider-Man, elle se montre surtout d'une grande qualité tant Stan Lee, Steve Ditk…

  • Voir la critique de Spider-Man : L'Intégrale 1965 #3 [2002]
    80

    Spider-Man : L'Intégrale 1965 #3 [2002]

    par Bastien L. | Lecture : 5 mn 11

    Classique et efficace : Cette année de 1965 de Spider-Man démontre que Stan Lee et Steve Ditko ont produit un travail de qualité rendant justice à ce héro…

  • Voir la critique de Spider-Man : L'Intégrale 1964 #2 [2002]
    85

    Spider-Man : L'Intégrale 1964 #2 [2002]

    par Bastien L. | Lecture : 5 mn 58

    L'envol du Bouffon : Cette première année complète des aventures de Spider-Man en 1964 est encore une fois une réussite montrant que la licence est née…

  • Voir la critique de Spider-Man : L'Intégrale 1962-1963 #1 [2002]
    85

    Spider-Man : L'Intégrale 1962-1963 #1 [2002]

    par Bastien L. | Lecture : 7 mn 11

    La naissance d'une légende : La naissance de Spider-Man est un régal à découvrir grâce à la grande efficacité des histoires de Stan Lee et le travail prodigieu…

  • Voir la critique de Spider-man : The New Generation [2018]
    75

    Spider-man : The New Generation [2018]

    par Vincent L. | Lecture : 3 mn 38

    On se fait une toile ?... : Spider-man into the spider-verse est l'un des meilleurs films qui aient été fait sur l'Homme Araignée. J'aime vraiment beauco…

  • Voir la critique de Spider-Man : Venom [2018]
    63

    Spider-Man : Venom [2018]

    par Bastien L. | Lecture : 7 mn 46

    Venom de nom ! : Pris comme un divertissement, Venom rempli sans aucun problème son contrat. Le film est rythmé et efficace dans un mélange d'actio…

  • Voir la critique de Spider-Man : Homecoming [2017]
    50

    Spider-Man : Homecoming [2017]

    par Vincent L. | Lecture : 47 s

    Les trois jours du vautour... : Il y a de bonnes choses dans ce Spider-man : le personnage de Peter Parker est cool (et super bien interprété), le méchant n'est p…

  • Voir la critique de The Amazing Spider-Man
    55

    The Amazing Spider-Man

    par Vincent L. | Lecture : 7 mn 27

    Spider-man 1.2... : Sorti dix ans plus tôt, nul doute que notre avis sur ce film aurait été un peu plus positif (sans être transcendant non plus). En …

  • Voir la critique de The Amazing Spider-Man
    70

    The Amazing Spider-Man

    par Richard B. | Lecture : 7 mn 52

    Mutation de Spider-Man accomplie. : Remake, reboot, j'avoue ne pas avoir encore compris la différence entre ces deux termes. On dira qu'il s'agit bien ici d'une quasi…

  • Voir la critique de Spider Man l'Intégrale 1978
    55

    Spider Man l'Intégrale 1978

    par Richard B. | Lecture : 4 mn 24

    16éme année des aventures de Spider-man : 1978 n'est pas une des années des plus marquantes dans l'histoire de Spider-Man. Si on y retrouve quelques événements mythologique…

  • Voir la critique de Spider-Man 3
    50

    Spider-Man 3

    par Nicolas L. | Lecture : 4 mn 17

    Spider-man noir en demi-teinte : Cinq ans après un très bon premier volet, Sam Raimi semble avoir perdu le contrôle de son projet, ou du moins semble s'en être élo…

  • Voir la critique de Blu-ray Spider-Man 3
    65

    Blu-ray Spider-Man 3

    par David Q. | Lecture : 2 mn 26

    Le Bluray du pack PS3 manque de bonus : Un excellent film encodé comme il se doit pour ne perdre aucun détail comparé à la version cinéma, il n'empêche que ce Bluray (ver…

  • Voir la critique de Spiderbabe
    50

    Spiderbabe

    par Nicolas L. | Lecture : 4 mn 34

    Une araignée qui vous veut du bien : Spiderbabe est une sympathique comédie de science-fiction qui marie assez bien l’érotisme poussé et le comique de situation. Le fi…

  • Voir la critique de Spider-Man
    75

    Spider-Man

    par Bastien L. | Lecture : 5 mn 1

    I'm Spider-Man ! : Une adaptation réussie qui doit beaucoup à la liberté d’action que propose son héros.

  • Voir la critique de Spider-Man 3
    65

    Spider-Man 3

    par Richard B. | Lecture : 4 mn 19

    Spider-Man 3 sur X-Box 360 : Spider-Man 3 est un bon jeu et globalement on passe un très bon moment. Mais il regorge de petits défauts, avec un peu plus de tem…

  • Voir la critique de Spider-Man 3
    40

    Spider-Man 3

    par Lujayne M. | Lecture : 2 mn 14

    Larmoyant... : En bref, on sent l'essouflement de la franchise dans ce troisième opus, même si les scènes d'action sont, comme toujours, réussies…

  • Voir la critique de Spider-Man 3 - Various artists
    70

    Spider-Man 3 - Various artists

    par Manu B. | Lecture : 1 mn 8

    Un peu plus Indie : Au final, un various artists inégal et hétéroclite avec une première partie plutôt Indie et une deuxième beaucoup plus décevante e…

  • Voir la critique de Spider-Man 3
    70

    Spider-Man 3

    par Richard B. | Lecture : 4 mn 15

    Sortez couverts, prenez votre symbiote : Un troisième chapitre qui permet d’avoir une trilogie logique, et se concluant de belle manière. Techniquement Spider-Man 3 est le…

  • Voir la critique de Spider-Man V.II - 82 L'autre
    90

    Spider-Man V.II - 82 L'autre

    par Nicolas R. | Lecture : 2 mn 32

    Le nouveau Spidey ? : Straczynski montre encore une fois son implication dans les comics, son étant ici de redonner une seconde jeunesse à un perso qui …

  • Voir la critique de L'Homme-araignee
    5

    L'Homme-araignee

    par Richard B. | Lecture : 2 mn 57

    Pas de grande responsabilité pour cette production : L’araignée, L’araignée, est un être bien singulier. Dans sa toile il se fait attendre pour attraper les brigands. Ne prenait pas g…

  • Voir la critique de La Riposte de l'homme-araignee
    24

    La Riposte de l'homme-araignee

    par Richard B. | Lecture : 3 mn 56

    La riposte du Kitch ! : Il y a 3 manières de voir ce film. La première : en ayant en mémoire les exploits de Spider-Man dans le comics et là, croyez-moi, …

  • Voir la critique de SPIDER-MAN  HS 22 - House of M
    90

    SPIDER-MAN HS 22 - House of M

    par Richard B. | Lecture : 2 mn 16

    Une nouvelle vie pour Spidey ! : Spider Man hors série 22 : House of M. est très bon. Peter Parker prend le dessus et nous montre que quoiqu’il arrive, il est le s…

  • Voir la critique de Ultimate Spider-Man 41
    80

    Ultimate Spider-Man 41

    par kick | Lecture : 1 mn 41

    Le retour du Caïd et l'arrivée des Exécuteurs ! : Début d'une guerre des gangs, nouveaux persos, humour toujours présent, en somme du bon Ultimate !